En somme, si on regardait de la lune les agitations innombrables des mortels [...] On croirait voir une nuée de mouches ou de moucherons qui se battent, se font la guerre, se tendent des pièges, pillent, jouent, folâtrent, naissent, tombent, meurent.
On ne saurait croire quels troubles, quelles tragédies provoque un si minuscule animal et destiné à périr sitôt.
XLVII