Vous n'avez droit à rien, monsieur ! Nous sommes sous le régime de l'Etat de Siège. Des dizaines de cadavres dans des cercueils plombés arrivent ici tous les jours. Dans le cadre des enquêtes liées à ces assassinats, le ministère de la Défense nous interdit par circulaires de montrer ces corps, souvent mutilés à un tel point que nul ne peut en supporter la vue.