Sans la guerre, on ne comprend rien à cette tragédie : ni les logiques à l'œuvre, ni les priorités, ni les pressions exercées - aux frontières ou dans les rues de Paris - sur un gouvernement républicain qui n'avait pas déclaré la guerre (Robespierre s'y était même formellement opposé devant la Législative en avril 1792) mais n'avait eu d'autre choix que de la continuer pour survivre.