C’est cette consommation de luxe, en tant que forme improductive de dépens, qui reflète la liberté authentique de l’humain, sa souveraineté...
La dépense improductive, propre à la souveraineté, s’accompagne d’un dessaisissement de l’individu, un lâcher-prise dont les représentations se trouvent dans des états voisins de l’extase, transe et autres états de dépossession de soi, comme avec l’udage des stupéfiants.