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122 pages
la revue du comptoi (01/01/2023)
3.25/5   2 notes
Résumé :
Comprenant plus de 120 pages d'articles inédits, en couleurs et illustré par des dessinateurs talentueux, ce 4ème numéro se penche sur les différentes facettes du transhumanisme à travers le monde : en revenant sur les fondements historiques et philosophiques de ce courant de pensée ; en découvrant comment l'Intelligence Artificielle s'immisce dans les décisions de justice ; en quoi Singapour est le modèle pour toutes les smart cities du futur ; en décryptant les li... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
Le numéro 4 de cette revue est. consacré au trans humanisme et s"appuie su près d'une vingtaine d'articles, très inégaux.
Certains sont corsetés par l'idéologie des auteurs qui empêchent une pensée ouverte et plaque des schémas. de raisonnement tout faits sur un problème éminemment complexes.
D'autres à l'inverse proposent des réflexions intéressantes, notamment sur Georges Bataille, Sade, la Raison et la science.
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Citations et extraits (6) Voir plus Ajouter une citation
Ce sont les limites posées à la vie pulsionnelle qui distinguent l’homme de l’animal. La honte sexuelle et la conscience d’être mortel sont, avec le travail, les trois éléments originaires de l’humanisation. L’archéologie le confirme : les rites funéraires et l’apparition du vêtement sont les premiers vestiges des sociétés humaines. Les plus vieux tabous concernent la mort et la sexualité – le corps nu et le corps mort – et c’est ainsi que les sociétés fixent l’interdit de l’inceste (tabou sexuel) et l’interdit du meurtre (tabou de la mort).
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Dans le monde profane, il s’agit de ramener l’inconnu sur le plan du connu, et de pouvoir expliquer l’imprévisible par l’habituel. Le sacré, au contraire, donne lieu à des manifestations brutales et renvoie à une « violence élémentaire » dont le sacrifice, la mort donnée en spectacle fournit l’exemple probant. Or, la société moderne, en tant que qu’elle obéit à un vaste processus de rationalisation, tend à exclure le sacré, à le tenir à distance au profit d’une profanation intégrale de l’existence – un monde qui refoule cela même qu’il est profane. Or le fascisme, à travers son exaltation d’un la violence et son culte de la personnalité, représente un retour du refoulé.
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L’antagonisme entre l’homogène et l’hétérogène se concrétise dans l’histoire sous les formes du conflit entre le travail et la souveraineté, c’est-à-dire entre, d’une part, des forces historiques qui tendent à ramener l’humain et le vivant sur le plan des choses, qui tendent à choséifier l’existence au sein et au profit du système productif et , d’autre part, des forces liées à la liberté authentique et insondable et dont l’essence, écrit Bataille dans La Part Maudite, est de consumer sans profit ce qui pourrait rester enchaîner à des œuvres utiles.
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Le sacré participe d’une sphère plus vaste, la sphère de l’hétérogène, avec l’érotisme – et toutes sortes d’expériences limites, c’est-à-dire le domaine des expériences qui transgressent les limites de la raison : les rêves, les états de transe, les fétichismes, le mysticisme débridé, etc. En ce sens, le royaume de l’hétérogènes est la « part maudite » de la société moderne, le royaume des exclus et des marginaux, un monde parallèle.
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C’est cette consommation de luxe, en tant que forme improductive de dépens, qui reflète la liberté authentique de l’humain, sa souveraineté...
La dépense improductive, propre à la souveraineté, s’accompagne d’un dessaisissement de l’individu, un lâcher-prise dont les représentations se trouvent dans des états voisins de l’extase, transe et autres états de dépossession de soi, comme avec l’udage des stupéfiants.
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