La santé de la personne dépend de l’équilibre de ces différents constituants et de la circulation fluide des souffles dans le corps. Les techniques variées du Tsaloung tibétain
favorisent cela en libérant les blocages des canaux et en rééquilibrant simultanément les éléments grossiers et subtils ainsi que les trois humeurs.
Lorsqu’elles sont pratiquées de manière très progressive sous la direction d’un enseignant compétent, elles représentent une formidable méthode de bien-être physique et mental : le
corps gagne en souplesse et fluidité, la santé s’améliore et se stabilise, le mental s’apaise, l’esprit se détend, ainsi de suite.
Toutefois, le Tsaloung ne se limite pas à ces perspectives que l’on pourrait qualifier d’ordinaires. Il est aussi et surtout pour les pratiquants bouddhistes une voie rapide vers le plein Éveil, ce qui lui donne une dimension extraordinaire.
Bien avant de devenir Premier peintre du roi, et de réaliser les décors de la galerie des Glaces à Versailles, Charles Le Brun fut élève de Simon Vouet. De quel tragédien fit-il le portrait en 1642 ?