Pourtant, nous avons l'habitude Kaboul d'être la cible des roquettes. Bien que je n'aie que seize ans, il me semble en avoir toujours entendu.Il y a tellement longtemps que la ville est encerclée, bombardée, que les combats meurtriers incendient et nous enfument, nous précipitent parfois dans la cave, qu'une nuit de plus dans ce vacarme fait partie de notre quotidien.