Dans le texte ci-contre [de Ferenczi], l’ « amour passionné des adultes » ou le « terrorisme de la souffrance » sont décrits comme autant de chocs que l’entourage inflige à l’enfant : ces traitements cruels et les tendances incestueuses de l’enfant le confrontent à une « langue de la passion » qu’il n’entend pas, mais dont l’effraction provoque en lui une immense confusion.