Le vautour s'abrite dans un trou d'arbre avant que l'orage n'éclate. Enfin, quand le ciel se dégage et que la pluie se calme, il reprend son envol. Humant quelque chose au sommet de la crête, il se met à tournoyer, trouve un immense pin et se perche sur une de ses branches nues. Une silhouette dans les bois, en contre-bas. Le rapace tourne sa tête casquée d'une peau cicatrisée rouge, comme ébouillantée, vers l'odeur alléchante de charogne.