Mon père me frappait avec ses mains, ses pieds, ses talons, et tout ce qui lui tombait sous ses mains. Mais il tapait sur un corps qui ne ressentait rien [...]. Ni lui ni ma mère ne pouvaient comprendre ce mal-être qui me taraudait. Ce silence qui m'empoisonnait. Tout était toujours ma faute. Je voulais qu'il m'aime, me pose des questions, cherche à savoir ce qui me faisait souffrir et me console.