Je suis donc malade et je ne sais quel est mon mal ; je souffre et je n’ai pas de blessure ; je m’afflige et n’ai perdu aucun de mes moutons ; je brûle et je me trouve assise sous une ombre si fraîche ! Que de fois j’ai été égratignée par des ronces et je n’ai pas pleuré ; que de fois j’ai été piquée par le dard des abeilles et je mangeais quand même ! Mais ce qui me perce le cœur aujourd’hui est plus poignant que tout cela.