Raphaël était vivant, blessé mais vivant. C'était simple, plus de questions. Agir. Aimer, c'est résister, aimer, c'est agir, aimer, c'est se vaincre. Il suffisait de prendre sa vie comme on prend une valise, de prendre sa force comme déjà une fois elle avait pris le train, de prendre les armes comme on prend le corps de l'homme aimé.