Nev

« Les quatre filles du Docteur March » est un classique qui m’était inconnu… Certes, durant ma jeunesse, je regardais quelques épisodes de l’adaptation manga/dessin animé lorsqu’il passait à la télévision, toutefois je n’avais jamais eu le récit dans son ensemble. C’est dorénavant chose faite grâce aux éditions Nobi Nobi ! qui ont la belle idée d’adapter quelques romans en manga. J’avais déjà testé leur collection « Les classiques en manga » avec « Alice au pays des merveilles », cependant je n’avais pas été totalement convaincue. Cette fois-ci, j’avoue avoir apprécié ma lecture !



À travers cet ouvrage, j’ai pu faire la connaissance de Jo ainsi que de ses trois autres sœurs Meg, Beth et Amy. Nev, l’auteur-illustrateur de l’adaptation, a principalement focalisé son récit sur les deux ainées Jo et Meg. Ces deux demoiselles sont des personnages intéressants, en particulier Jo qui a une attitude très féministe. Elle recherche son indépendance, n’hésite pas à affirmer son caractère et se distingue presque comme une chef de famille faisant le lien avec la fratrie. Elle fait de son mieux pour combler sa famille et va même aller jusqu’à couper ses cheveux pour donner de l’argent à sa mère pour qu’elle rejoigne leur père blessé à la guerre. Elle a beau aimer sa chevelure, elle abandonne sa féminité pour aider les siens… Mais à côté de ça, elle garde son caractère impulsif et parfois colérique. C’est un protagoniste qui m’a plu, car c’est celui qui est le plus développé et profond. Ses autres sœurs sont également attachantes à leur manière, mais je n’ai pas réussi à les apprécier autant que Jo, car elles sont assez effacées face au tempérament de la cadette. Je pense que si j’avais lu l’œuvre originale, j’aurais pu me faire une meilleure idée des autres fillettes.



L’histoire, pour ceux qui ne la connaissait pas comme moi avant ce manga, tourne autour de la famille du docteur March. Ce dernier est parti au front. On va donc suivre le quotidien de sa femme et ses filles. Il ne se passera pas grand chose de palpitant, toutefois leurs journées sont loin d’être calmes pour autant. Les sœurs se chamaillent, jouent, vont au bal, font la rencontre de leur petit voisin Théodore (alias Laurie), font du patin à glace, laissent libre cours à leur créativité, etc. Derrière ce fond d’innocence et cette ambiance familiale, les thèmes de la maladie, de la mort, de la pauvreté et de la guerre sont soulevés. Il est également intéressant de voir l’évolution des quatre demoiselles qui ont pris un chemin différent et vont avoir affaire à leurs propres épreuves pour grandir…



J’ignore si l’adaptation est fidèle ou non… Néanmoins, pour une personne n’ayant pas lu le roman, c’est compréhensible, bien dessiné et attendrissant ! Je trouve le coup de crayon très sympathique et expressif… La représentation des personnages m’a autant plu que les décors lorsqu’il y en avait. Certaines planches dégagent de belles ambiances… Bref, un chouette manga que je ne regrette pas d’avoir découvert !


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Ce manga m’était tombé dessus par hasard et je m’étais suis dit que se faire un classique dans cette version pouvait n’en être que meilleure.



Je connaissais ces éditions pour avoir lu leur adaptation de Sherlock Holmes (dont je n’aimais pas le nez !).



Little Woman, dans la V.O raconte le destin croisés d’une famille de femmes : la mère et ses quatre fille qui attendent le retour du mari/père, médecin dans l’armée nordiste (aumônier dans la V.O).



Évidement, au premiers abords, on pourrait trouver le récit nunuche et pétri de bons sentiments avec ces 4 sœurs qui, dans un premier temps, voulaient s’offrir des cadeaux pour Noël, décident de mettre leurs économies en commun pour acheter des cadeaux à leur mère.



Nos quatre filles sont gentilles, bien élevées, serviables, aident les plus pauvres alors que leur père, ayant aidé un ami dans ses affaires s’est retrouvé entraîné dans une faillite et malgré tout ça, elles n’ont pas la haine.



Oui, le récit est très moralisateur car Jo sera punie d’avoir boudé sa petite soeur, Amy, toutes auront à payer le prix de ne pas avoir donné un coup de main à la tendre Beth, toutes se diront à un moment donné qu’on ne les y reprendra plus, mais au lieu d’être indigeste, le récit est agréable à lire car on s’attache vite aux filles, surtout à Jo, le garçon manqué.



Il y a de la tragédie aussi, dans ces pages, il faut bien un peu de drame, mais on ne sombre jamais dans le mélo et tout cela reste bon enfant puisque le but du jeu est de nous faire passer un message, moralisateur, certes, mais les messages sont souvent moralisateurs.



Les personnages sont bien détaillés et ne sont pas figés car Amy la petite peste peut devenir plus douce, Jo peut tenter de contrôler ses colères et le grand-père de Théodore « Laurie« Laurence, leur voisin, peut aussi laisser entrevoir son cœur.



Il y a moyen de se retrouver dans un peu chacune des filles, pas une précisément, mais un peu dans les quatre en même temps. Tout le monde y trouvera son compte, même les garçons qui peuvent s’identifier à Laurie, le jeune voisin qui apprécie fort la compagnie de Jo.



En plus, pour une œuvre publié en 1868 à l’origine, je la trouve tout de même assez avant-gardiste car en plus de mettre en scène principalement des femmes, il s’attache à leurs pensées et nous parle des aspirations totalement différentes des quatre filles, dont une voudrait être écrivain !



Une jolie chronique familiale qui fait du bien au moral, une histoire avec ses moments drôles, amusants, dramatiques, ses leçons de vie, sa morale, le tout en évitant l’écueil de la nunucherie ou du mélodrame guimauvien.



En une année, nos quatre filles ont évolués, ont grandi, ont appris, ont tiré des leçons de leurs comportements et ont mûri.



Un classique à découvrir, en manga ou en roman.


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Je l’ai attendu celui-là, j’ai trouvé le temps assez long à attendre sa sortie et je l’ai dévoré bien trop vite J’adore ce classique, même si je n’ai pas lu le livre d’origine, mais on connaît tous le dessin animé. J’ai donc redécouvert ce classique en version manga et j’ai adoré voir les personnages reproduits d’une façon assez identique que le dessin animé, je pouvais même imaginer les voix dans ma tête. J’ai adoré revivre les aventures de Meg, Jo, Beth et Amy. Mais aussi de revoir la douceur de Meg, l’intrépidité de Jo, la timidité maladive de Beth et les caprices d'Amy. Mais le livre est un peu court pour revivre l’intégralité de l’histoire en un seul tome. Ce qui est assez dommage, j’ai l’impression d’être sur ma faim quand je finis ma lecture. Pourtant, j’ai adoré me replonger dans les querelles des quatre sœurs. Mais on voit aussi une famille souder et très aimant. J’ai redécouvert un peu cet univers et cette époque, mais comme je le disais plus haut j’ai comme un manque. J’ai adoré les dessins, c’est ce dont j’avais un peu peur, mais non et comme je le disais plus haut, on est très proche du dessin des dessins animés.





En conclusion, une lecture adorable et qui m’a permis de retomber en enfance, mais j’ai comme un manque, comme si je n’avais pas eu assez de ses aventures. J’aime beaucoup cette collection qui nous permet de découvrir ou de redécouvrir des classiques. J’ai vraiment hâte de découvrir le prochain classique. Mais je pense que parfois un seul volume est frustrant comme pour celui-ci. Personnellement, j’ai très envie de regarder de nouveau le dessin animé et pourquoi pas de lire le roman.
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Une jolie façon de découvrir ce classique incontournable. Les dessins de ce manga sont magnifiques et dès les premières pages, nous sommes happés par l'histoire de ces quatre filles.

Une collection intéressante, " les classiques en Manga".



Pourquoi transmettre ce roman aux jeunes générations?



Pour son histoire de sororité complices d'une part.



4 filles toutes très différentes, avec des aspirations complémentaires, elles vont faire rire les jeunes lecteurs et les faire pleurer aussi.



Elles vont passer des jours éprouvants, se raccrochant à un peu d'insouciance, jouant leur rôle d'adolescentes tandis que la Guerre de Sécession américaine divisait l'état sur les nouvelles moeurs à tenir.



Veillant aux correspondances de leur père parti au front, elles vont tenir tête à l'anxiété et soutenir leur mère au quotidien jusqu'à ce que le Docteur March revienne parmi les siens.







Chaque lectrice pouvait de tous temps s'identifier à Beth la généreuse, bientôt en âge de se marier, ou à Joséphine " Jo" le garçon manquée ou à la délicate Beth qui aime le piano ou à la frivole et pétillante Amy.



C'est Jo qui raconte l'histoire de sa famille, qui devra survivre sans la protection du soutien principal de famille. Elle cherchera progressivement sa voie en tant qu'écrivaine. Un détail important pour l'époque qui définira bien le fort caractère du personnage.



L'arrivée du jeune voisin, Théodore surnommé "Laurie", donnera l'occasion aux adolescentes de sortir de chez elles, de jouer de cachotteries et de complicité, d'ajouter un peu d'espièglerie avec l'introduction d'un jeune mâle dans ce "poulailler" de filles.



Mais la vieille Tante March veillera au grain.







Elle se montrera d'un grand secours financier pendant l'absence de son neveu et elle en fera voir des vertes et des pas mûres, comme l'on dit, à Jo, celle qui s'éloigne le plus d'une jeune demoiselle de bonne famille irréprochable.



Le guerre ne nous fera pas oublier qui nous sommes dans ce décor chamboulé, Jo devra faire un effort sur ses manières pour conserver le précieux soutien de la Tante.



L'aventure sera romantique mais aussi dramatique car l'une d'elles n'y survivra pas. Préparez les mouchoirs.







La Guerre de Sécession est une période particulière et rarement exploitée en direction du jeune lectorat.



Ces périodes ne sont jamais simples à expliquées.



"Les quatre filles du Docteur March" offrait une alternative plus douce à "la case de l'oncle Tom" de Harriet Beecher Stowe par exemple et plus appropriée pour l'époque, pour évoquer cette scission de l'Amérique du Nord et sa raison sociale d'émancipation, au nom des Droits de l'homme à accorder à tous.



Cela reste en fond mais les tristes perspectives de ce qui se passe sur le front viendront parfois hanter le quotidien.



Nous vous renvoyons à des manuels d'histoire adaptés et accessibles.



Ce roman datant de 1868 est un des plus célèbres romans historiques de " filles", il continuera d'être publié et adapté encore aujourd'hui.



Il existe même une suite, " le Docteur March marie ses filles".







Quid de la version Manga?







L'adaptation d'un roman en BD nécessite inévitablement des raccourcis, mais les grands temps forts y sont.



En outre, les lecteurs seront aussi invités au mode de lecture Manga, en partant de la fin, de droite à gauche.



C'est un avantage et une passerelle vers d'autres lectures du même type, soutenant les jeunes lecteurs dans le plaisir et l'effort si ils n'arrivent pas à rebondir sur l'oeuvre originale.



Il restera le reste de la collection et tout un monde de Mangas à leurs pieds.



Le ton du Manga est léger, nous sommes dans une forme de girl power très nettement d'un autre temps mais notable tout de même avec Jo, mais aussi les autres, qui se montrent courageuses étant donné le contexte.



Nos jeunes filles devront se serrer la ceinture et l'accepter mais heureusement, elles auront droit à un heureux bienfaiteur.



Une version agréable qui permettra d'amener le roman d'origine à un plus jeune public et dans une forme adaptée.

Un manga qui reste dans l'esprit du roman : un peu désuet.

Publié en 1868, le roman de Louisa May Alcott s'inspire largement de la famille et de la jeunesse de son auteur que l'on peut reconnaître dans le personnage de Jo l'apprentie écrivain. Celle-ci, avec son caractère authentique et spontané, est la plus attachante des quatre sœurs. Particulièrement moderne pour son temps, Jo refuse de s'enfermer dans les convenances liées à son sexe, ce qui lui vaut bien des remontrances de la part de la terrible tante March ! Chacune des filles a sa propre personnalité et l'on suit leurs petites (més)aventures quotidiennes à travers une dizaine d'épisodes : combien Amy souffre d'être "traitée de pauvresse" par certaines camarades d'école, la gêne de Meg quand elle emprunte une belle robe à sa riche amie pour un bal ("J'ai vraiment été idiote de penser que cette robe me rendrait plus heureuse"), ses sentiments naissants pour John Brooks... Cependant l'histoire a vieilli et l'attitude ainsi que les propos des protagonistes semblent un peu candides.

Un certain nombre de valeurs sont en effet transmises à travers les quatre sœurs : ce sont celles (très chrétiennes) de charité, altruisme et générosité. Des valeurs certes louables mais défendues dans des dialogues un brin moralisateurs ("Mon rêve est que vous deveniez de bonnes filles", "Voulez-vous encore paresser une semaine ?") voire religieux ("Dieu vous aime et vous protège", "C'est notre devoir") qui passent moins bien à notre époque : je pense que le texte de ce manga aurait gagné à être actualisé, au moins ponctuellement.
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Ah les Quatre filles du docteur March (Little Women en V.O.)... qu'est-ce que j'ai pu regarder ce film avec ma soeur quand nous étions enfants ! Je connais donc par coeur l'histoire, qui ne sera celle de cette adaptation manga que jusqu'à un certain point.

N'ayant pas lu le roman, impossible de savoir qui du film ou du manga lui est le plus fidèle puisque le dernier quart n'est pas du tout le même et que cela en change carrément la fin, ce qui m'a beaucoup déstabilisée ! Je n'évoquerai pas ce qui a été modifié pour ne pas risquer de vous spoiler le roman ou les films mais je dirai juste qu'ici l'histoire est moins triste et propose une fin ouverte qui nous laisse sur notre fin en ne nous montrant pas ce que deviennent les filles une fois adultes. La relation entre Jo et Laurie est aussi moins ambiguë alors que c'est un des axes forts de l'histoire ! Cette adaptation, malgré sa densité niveau nombre de pages, a donc beaucoup moins de profondeur, ce que je trouve bien dommage.
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Encore une pépite des classiques en manga



Je parle souvent de cette collection des classiques adaptés en manga mais définitivement, je l'adore !

Quel bonheur de faire découvrir aux jeunes lecteurs de grands auteurs / textes.



Les quatre filles du Docteur March c'est un peu une madeleine de Proust.

Je l'ai lu 100 fois enfant, je regardais le dessin animé et je m'identifiais totalement à la rebelle Jo (faut-il avouer que, comme de nombreuses petites filles, j'en pinçais un peu pour Laurie ?)



L'histoire des Quatre filles du Docteur March, tout le monde la connais. Un papa pasteur parti au front durant la guerre de Sécession, une maman forcément un peu bigote et quatre filles aux tempéraments bien différents. Il y a la belle et un peu futile Meg, Jo la féministe avant l'heure qui se rêve écrivain, Beth la petite fille modèle et enfin Amy un poil capricieuse.

C'est l'occasion pour l'auteure de faire passer des messages en subtilité (ou pas) sur la bonne conduite à avoir quand on est une jeune fille.



Il faut bien sûr se remettre dans le contexte de l’époque. La LJ avait surtout une vocation pédagogique : enseigner les bonnes manières, la morale, les valeurs chrétiennes...

C'est donc ici une œuvre complètement typique de l'époque et pourtant Louisa May Alcott prend tout de même un petit risque avec le personnage de Jo qui refuse de se conformer à ce que l'on attend d'elle.



Je comprends que certains puissent voir un côté un peu préchi-précha dans ce texte mais une fois de plus il faut remettre les choses dans leur contexte et personnellement je ne vois pas le côté niais des Quatre filles du Docteur March. C'est un texte que j'aime tout particulièrement et que je ferai découvrir avec bonheur très prochainement à ma fille.



Pour ce qui est de cette adaptation l’œuvre originale est parfaitement rendu. Le texte est accessible, les personnages sont attachants et c’est encore une réussite pour ce classique en manga.



On trouve une proposition de séquence en classe sur le site de l'éditeur. Je trouve l'étude de ces classiques en manga vraiment intéressante. Les élèves peuvent étudier le manga en tant que support original, faire des comparaison d’œuvres (manga/texte - manga/BD...), faire un rallye lecture...



Comme toujours on trouve en fin d'ouvrage 2 pages documentaires : la première est une biographie de l'auteure et la seconde traite de l’œuvre.

Ce fut pour moi l'occasion de découvrir qu'il existe 3 autres tomes après Les quatre filles du Docteur March. Je ne me souviens pas de les avoir lus mais je sais pourtant quel destin attend nos demoiselles March. Je vais toutefois essayer de me procurer ces autres romans car ils m'intriguent vraiment.



En bref, encore une très belle adaptation manga d'un excellent classique à mes yeux.
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L'histoire se passe en Amérique pendant la Guerre de Sécession.

Le livre raconte l'histoire de 4 filles : Meg, Jo, Beth et Amy qui voulaient s'offrir des cadeaux mais, finalement, elles ont réuni leurs économies afin d'acheter un cadeau à leur mère pour Noël. Leur père, le docteur March, n'est pas là car il a été appelé au front.

Les filles vont-elles retrouver leur père pour Noël ???



J'ai aimé ce livre malgré le manque d'action . C'est le 1er manga que je lis et je n'ai pas trop apprécié le sens de lecture dans les mangas.



Lorenzo

J'ai aimé ce livre malgré qu'il manque d' action . C'est mon 1er manga que je lis .

Le livre raconte l'histoire de 4 filles:Meg,Jo Beth et Amy qui voulait s'offrir des cadeaux mais au final elles ont réuni leurs économies afin d'acheter un cadeau à leur mère pour noël.Leur père le docteur March n 'étant pas là car il était appeler au front ...

Les filles vont elles retrouver leur père pour noël???

Et voilà, entre Noël et la fin de l'année, on en revient immanquablement aux classiques ... et c'est avec un plaisir chaque fois intact que j'ai lu (pour la énième fois) Les Quatre Filles du Docteur March de Louisa May Alcott, cette fois-ci dans la belle version manga illustrée par Nev, aux éditions nobi nobi !

Est-ce vraiment la peine que je résume cette oeuvre célébrissime ?



Meg, Jo, Beth et Amy March sont quatre jeune filles qui vivent dans une petite ville du Nord des Etats-Unis alors que la Guerre de Sécession fait rage. Leur père, qui n'est pas docteur au sens médecin mais plutôt théologien, s'est engagé dans l'armée en tant qu'aumônier et elles vivent seules avec leur mère, femme admirable qui met tout en oeuvre pour que ses filles grandissent en devenant des femmes indépendantes et des personnes intelligentes et capables de faire le bien autour d'elles. La famille n'est pas riche, mais chacune met la main à la patte et travaille de son mieux tout en poursuivant avec détermination ses rêves : Jo veut devenir un écrivain célèbre, Amy peintre ou sculpteur, alors que Meg souhaite plus modestement avoir une belle maison et une vie confortable et que la gentille Beth désire simplement demeurer au milieu de ceux qu'elle aime en s'efforçant de les rendre le plus heureux possible. Quatre caractères bien différents, des disputes inévitables sur le laborieux chemin qui mène de l'enfance à l'âge adulte, mais beaucoup d'amour et d'imagination pour illuminer le quotidien.



C'est toujours avec bonheur que je me plonge dans la vie de ces quatre soeurs, sur le laps de temps du roman qui commence à Noël et s'achève au Noël suivant ... je trouve que l'adaptation en manga est bien réussie, avec de beaux dessins qui rendent justice aux personnages ... et cela me donne bien sûr envie de lire la suite, pas en manga, puisque je vous rappelle que cette collection des Classiques en manga ne contient que des one-shot, mais en roman !

Mon Merlin a lu ce volume il y a quelques semaines, et il a beaucoup aimé, il me reste à le faire lire à ma Damoiselle ... je l'ai déjà prêté à mes petites voisines (13 et 9 ans) qui ont bien apprécié leur découverte !



Je sais que je me répète, mais vraiment, cette collection de nobi nobi est une super porte d'entrée sur les classiques (jeunesse mais pas que) du monde entier ! Franchement, quel petit garçon de 8 ans irait tout naturellement piocher ce titre en roman dans la bibliothèque familiale (où il figure pourtant en deux ou trois exemplaires ...) ? Aucun, alors que le format manga les attire irrésistiblement !
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waou! j'ai vraiment adorée ce manga. déjà parce que c'est 1 histoire en un seul livre ce qui ne laisse pas un grand moment de suspens comme toute les sagas, parce que les dessins sont trop jolis et l'histoire magnifique. mon personnage préféré reste quand même Joe pour sa forte personnalité garçonne

Une belle adaptation pour les enfants de ce grand classique.

J’ai apprécié les graphismes. J’ai bien retrouvé l’ambiance romantique du roman.

Un manga à conseiller à partir de 8/9 ans.

Quelle énorme déception! quel récit gnan gnan rempli de poncifs surannés. Et le graphisme manga (assez laid de mon point de vue) ne fait qu'empirer les choses. Je n'avais pas gardé ce souvenir du roman que j'ai lu petite fille. Le seul bénéfice de cette lecture : m'inciter à relire le classique dont est tirée cette adaptation!

Pour découvrir ou re-découvrir ce classique de la littérature.

Pour ce qui n'ont pas lu ou qui n'aiment pas lire les classiques (si, si, ça arrive), cela permet de connaitre la trame de l'histoire.

Des petites tranches de vie représentatif d'une époque, d'un milieu social et de son mode de vie. Cette famille semble "moderne" pour l'époque, ce qui fait son charme. Chaque fille a son caractère bien trempé. La mère de famille est garante de la moralité de la famille avec douceur et bienveillance. Elle accompagne ses filles dans leur évolution avec respect. Une histoire d'amour familiale très belle.

Meg, Jo, Beth et Amy sont les filles du Docteur March. Leur père étant parti à la guerre, elles sont restées à la maison. Mais entre Meg la raisonnable, Jo le vrai garçon manqué, Beth la délicate et Amy l'incorrigible égoïste, les discussions sont passionnantes et la maison rarement silencieuse. J'ai aimé ce livre car on ne s'attend pas à ce qu'il va se passer d'un chapitre à l'autre. Les personnages de cette histoire sont uniques en leur genre ; j'ai été particulièrement sensible au personnage de Jo parce qu'elle reste fidèle à elle-même. Et même si elle vient d'une famille pauvre, elle ne cesse jamais de rêver. Elena K. 6ème

Je n’ai pas du tout aimé se livre.je ne l’ai même pas fini