Sous la lune de la Fête des mets froids
Souffle de parfum, larmes de rosée, les fleurs de poirier
S’attristent comme moi devant la chaumière sans feu.
A l’heure où musique et chant s’élèvent du voisinage,
Seul, appuyé sur ma porte paysanne, je reste sous la lune.