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2.81/5 (sur 127 notes)

Nationalité : France
Né(e) le : 21/10/1929
Biographie :

Max André Rayjean
Pseudonyme de Jean Lombard qui a aussi écrit sous son patronyme. - Auteur de romans policiers et de science-fiction, et scénariste de bandes dessinées. - Lauréat du Grand prix de science-fiction en 1957 et 1974


Source : Catalogue de la BNF
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Citations et extraits (64) Voir plus Ajouter une citation
John Sommy pénétra dans la chambre de translation, quitta son casque spatial, et se dirigea immédiatement vers le télé-interphone.

Il manipula un bouton. L’écran s’éclaira et montra une standardiste casquée.

— Passez-moi le chef, Dolly.

L’opératrice sourit, acquiesçant d’un geste. Elle brancha une fiche. Une autre image se substitua alors à celle de la jeune fille. Un type trapu, aux yeux vifs, mobiles, aux traits grossiers. Il portait une chemise bleu azur, aux manches roulées, qui laissait apparaître les poils de ses bras. Il avait desserré le nœud de sa cravate noire. Assis à un bureau, devant des claviers, il fumait un gros cigare. C’était Ralph Parker, le chef du détachement des unités spatiales stationné sur R.S.3, une planète d’un système solaire voisin de Rigel.

Il avait assisté, de son bureau, à l’atterrissage de John Sommy.

— Rapport, capitaine, grommela-t-il.

— Désolé, chef. J’ai exécuté plusieurs vols circumvilaires autour de T.S.7. Je n’ai retrouvé nulle trace de l’astronef de Thomas.

— Vous vous êtes posé ?

Sommy hésita :

— Heu… non. Je n’ai pas cru cela nécessaire.

— Bon Dieu ! s’emporta Parker, impulsif dans ses gestes, comme dans ses actes. Il le fallait.
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Zolos lui a donné une photo en couleurs d’un des astronefs inconnus et il la montre à ses amis.

Ceux-ci se passent le cliché de main en main.

Gia se tapote le ventre, selon son habitude.

— Moi, j’aime les choses rondes.

— … Et grasses, ajoute Jé, ironique. Les boules, ça te connaît, évidemment. Y a qu’à voir ta silhouette.

— Dis tout de suite que je suis empâté ! proteste Paz en simulant une marche sur la pointe des pieds et en ondulant des hanches.

Cette mimique amuse Nadie Gem.

— Oh ! qu’il serait mignon en tutu ! glousse-t-elle.

Puis, sérieuse, elle regarde la photo.

— Ces machins ont échappé aux patrouilleurs. Tu crois que le Cos-200 les aura ?

— Ça…, dit Jé, c’est notre affaire. Je ne garantis rien.
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Knep reconnaît les difficultés. Il n’y a aucun technicien parmi les détenus. En fait, la seule solution est que ceux-ci s’éduquent eux-mêmes.

— Quand bien même nous deviendrions intelligents, remarque un vieil homme ridé, la Terre restera polluée pour l’éternité, du moins pour des siècles. Croyez-vous que notre avenir est ici ?

Lane reçoit à ce moment un flux électrique en provenance du poste central de surveillance automatique. Son cerveau réagit.

Il s’excuse, ordonne à ses hommes de se tenir prêts, et monte dans la coupole de l’ordinateur-robot.

Celui-ci annonce :

— Lane… L’AX-4 pénètre dans notre champ d’attraction.
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Ainsi, Mel ironisa :

— Ils croient qu’on va se casser les pattes sur une planète « marginale ». Ils se fourrent le doigt dans l’œil. Moi, j’ai mieux que ça.

La bouche de Wand s’arrondit :

— Ah ?

— Tu es un fameux pilote, Jos. Je n’ai pas l’habitude de passer de la pommade pour rien. Tes états de service prouvent ta compétence. Alors, si on pouvait s’éclipser dans un autre système solaire…

— Tu es fou ! glapit Laura, surprise.

— Est-ce possible, oui ou non ? insista Boskil.
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Il était un peu plus de deux heures de l’après-midi lorsque John Formery ouvrit la porte du laboratoire.

Le soleil entrait à flot par les larges baies vitrées et miroitait sur tous les ustensiles brillants.

Instinctivement, les yeux de l’assistant se posèrent sur la table où, ce matin, à l’issue de l’expérience, il avait déposé le bocal.

Un cri s’étrangla dans sa gorge et il se précipita, envahi d’un affreux soupçon.
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— Pourquoi as-tu voulu passer par-là, Ed ?

— Une idée… Je connais des copains qui ne traverseraient pas les marécages la nuit. Même en voiture. Alors, j’ai pensé que, avec toi, j’aurais du courage.

Liz se penche et embrasse son camarade sur la bouche. Aux États-Unis, un baiser n’est pas forcément le signe d’un amour, mais simplement d’une solide amitié.
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— Le pôle magnétique, vous le localisez ?

— Oui. Il se trouve sous un gros amas métallique.

— Attendez, Adar. Je viens.

Paor se trimbale sur ses tentacules jusqu’à l’endroit où se trouve son congénère. Il possède deux courtes antennes au sommet de son corps ovoïde et il les oriente en tous sens.
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À vingt mètres, sous la terre glacée, il a fait construire un caisson parfaitement étanche. Une minuscule centrale nucléaire alimente le blockhaus en électricité. La moindre défaillance en énergie aurait des conséquences dramatiques pour les hibernés.
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Le premier, Brice se réveille. Il constate deux choses, à moitié rassurantes.
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Ainsi, l’humanité s’essaimait progressivement dans l’univers. Son but ne finirait jamais car derrière les étoiles qu’on découvrait, existaient d’autres étoiles et ainsi de suite, jusqu’à l’infini.
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