Sess

Expecto Parodiqum !



Alexandre Arlène et ses complices en forfaiture gaguesques sont de retour pour un nouvel opus de Bloody Harry qui revisite avec un humour potache, trash et irrévérencieux l’univers et la fantastique saga de J. K. Rowling…



Truffé de références à l’univers, l’album n’aura aucun intérêt pour ceux qui ne se sont pas enquillés les 7 tomes, les 8 films auquel il faut ajouter quelques épisodes des Animaux Fantastiques et binge-watché la série à venir (rangez ce retourneur de temps !)… Mais pour les autres, c’est clairement de la balle !



Alors bien sûr, en matière d’humour, les auteurs n’y vont pas avec le plat de l’épée de Godric Gryffondor ! Mais c’est ça qui est bon, niark ! niark ! (rire sadique)
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Revivre les aventures d’Harry Potteur sous la figure d’Harry Potteleur dans un ton plus déjanté, voilà ce qui est au programme. Bientôt, Poudulard n’aura plus de secret pour vous, même si vous croyiez déjà tout connaître au sujet de la plus célèbre école de sorciers
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Une nouvelle fois, je me suis régalée avec ce cinquième tome de Bloody Harry.



Les planches sont drôles, décalées et sanglantes, on passe un bon moment avec cette parodie d'Harry Potter !



Je ne me lasse pas du tout, même après cinq tomes, j'en redemande ! Comme pour les tomes précédents, il s'agit d'une succession de scènes de deux pages, tour à tour drôles, sanglantes, sexuelles, qui sont faites pour passer un bon moment, sans prise de tête.



J'adore.

Camille Osscini et Sess nous délivrent une nouvelle série jeunesse, intitulée « Camille pétille », dont le premier tome se nomme « Cap ou pas Cap ». Non loin de Pico Bogue, ou encore de Mafalda, Camille est une petite fille brillante, qui aime apprendre, d’où le nombre fulgurant de questions qu’elle pose tout au long de la journée. Et ce n’est pas tout, elle et sa sœur sont aussi dotées d’une sacrée répartie, de quoi nous amuser tout au long de notre lecture. Longue vie à « Camille Pétille » ! Une nouvelle bande dessinée dont j’apprécie le contenu, les dessins mais aussi le format.
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Tess a des cheveux en bataille. Elle les aime mais son papa veut qu'elle les coiffe. A force de tout tenter, elle finit par leur donner des supers pouvoirs, au grand dam du chat.



Petite bande-dessinée sans prétention, amusante, distrayante, pleine de joies enfantines. Les dialogues et les illustrations fourmillent d'humour sans qu'il n'y ait vraiment d'histoire à suivre ni de rapport entre les chapitres. C'est une lecture jeunesse pour le plaisir, sans prise de tête.

Baisse des contaminations Covid, mais augmentation des inondations.

La crue de la Seine (+ de 4,30m) fait remonter les rats, comme des dé-rat-és, en surface. L'eau a inondé aussi les couloirs de la RATS, euh RATP!





Une "Si bête"N'diaye dirait qu'on ne risque rien et qu'on n'a pas besoin de masque (et de tuba), pour traverser la Seine.

"IiiiiiiiiiiiiiiiiiK" chant d'une baleine, (comme dans "Le grand bleu") ou de la petite sirène... d'une péniche. Fluctuac nec mergitur (elle flotte, mais ne coule pas!)

On voit 4 animaux sur une embarcation : un râle tévéa, une sterne d'eau, un Bernard l'hermite et un rat...





Mais arrête de faire le Zouave, Casimir. Tu t'es cogné contre le Pont de l'Alma, en nageant sans masque ?

Il s'agit d'un "petit rat de Wallis et Futuna", dans cet album.





Ah bon ?

Donc, augmentation du niveau de la mer, qui menace les îles de la Polynésie...

4 animaux sur une pirogue en feuille de bananier. La sterne perce le fond de l'embarcation. Les oiseaux s'envolent, quittent le navire (comme des rats?) et le Bernard coule.Le rat remonte à la surface, comme un dé-rat-é!

Et fait comme un rat...





Non! Une baleine, puis une tortue et enfin un poulpe vont l'aider... Hélas, c'est un rat à la figure blanche mais au coeur noir, qui a apporté l'alcoolisme, les maladies liées au tabac, la drogue et la malbouffe, aux Polynésiens...





La fin du livre montre que Wallis et Futuna a commencé la lutte contre un fléau, le rat noir qui décime les populations d'oiseaux (comme le Pihiti, magnifique oiseau bleu) de la Polynésie.





Mais arrête de râler, on s'ennuie, comme un rat mort! T'as trop de rats dans la tête, on va se prendre un sacré râteau...

Merci beaucoup à mon amie Nadrouge qui m'a envoyé le livre, gentiment! Allez lire sa critique.

Dès l'introduction de ce petit livre bilingue, nous sommes transportés en Polynésie: La mise en page toute en noir et blanc est juste magnifique, les bordures sont de style maori, on nous situe les iles Wallis et Futuna, et on nous présente les animaux du livre avec leurs symboliques.

Le conte: Pince-mi et Pince-moi sont....;)

Non, je recommence. Quatre animaux voguent sur une feuille de bananier. Suite à un incident la feuille coule, et notre petit rat se retrouve à l'eau, tout seul, les autres ont pu en réchapper chacun à leur manière. C'est le début de ses aventures. La fin est un peu dure, nous ne sommes pas habitués à cela, mais la morale quand à elle est bien là.

Un petit + pour la traduction en Wallisien sur chaque page. C'est drôle et exotique.

C'est vivant, drôle, très dialogué, à la fois court et riche en réflexions.
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L’école de la rue qui monte est une courte aventure qui nous raconte l’histoire de Colin qui doit garder le lapin de la classe pendant le week-end. Ce dernier doit en outre, raconter dans un album ce qu’il a fait avec.

Forcément comme tout enfant, il veut faire mieux que les autres élèves de la classe, sauf que n’ayant pas trop d’idée – ni trop de moyen – notre petit Colin stresse un peu. Jusqu’à ce que…



Soyons honnêtes, ce livre ne deviendra pas un classique de la littérature jeunesse. Nous sommes en effet loin des Contes de la rue Broca. Pour autant, il est fort possible que les enfants apprécient beaucoup ce petit livre dessiné et simple à lire. D’une part parce que le petit héros du livre, est à l’image des enfants d’aujourd’hui qui peuvent être inquiets de mal faire ou encore inquiets face à la concurrence car ils ne sont pas la star de l’école et connaissent leurs limites. Et d’autre part, parce que Colin est un personnage banal qui fonctionne comme les enfants et se fait quelques réflexions typiques du jeune âge, comme par exemple sur le nom de l’école. Montrant de fait qu’il fonctionne comme beaucoup d’enfants réels, et ne cache par conséquent rien d’extraordinaire.

Bref ! Cette petite histoire raconte un petit bout d’enfant bien actuel, et il est fort à parier que beaucoup d’enfants se retrouveront dedans si jamais ils ont se réflexe de s’identifier au personnage qui n’est pas la star de l’école. (A défaut de pouvoir rêver avec des sorcières et autres pouvoirs magiques, ils pourront toujours s’apaiser grâce à Colin.)



En conclusion c’est un petit livre parfait pour les jeunes enfants dans l’apprentissage de la lecture. Ces pages mélangent à parts égales dessin et texte, et convient bien pour la tranche d’âge qu’il vise : les 6-8 ans. J’essayerai de m’en souvenir si jamais j’enseigne un jour aux petites classes.
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On va suivre 2 sœurs et leurs parents dans leur quotidien. Entre blagues, lapsus rigolo, quotidien scolaire et petits jeux, nous avons là une chouette famille.

Quelques passages ne sont, je trouves, pas très adapté pour des jeunes enfants même si pour nous adultes ça reste marrant.

Mais dans l'ensemble j'ai bien aimé les suivre à travers une année scolaire et découvrir leurs péripéties.
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j'ai beaucoup aimé la mise en page de ce conte océanien avec les motifs en noir et blanc en arrière plan. Les dessins sont eux aussi originaux puisque nous avons l'impression qu'ils ont été faits à la craie sur un tableau noir.

J'ai trouvé particulièrement intéressant que ce petit conte soit en bilingue wallisien-francais !

Je sais au'il est important de parler de choses dures de la vie réelle aux enfants, mais je dois vous avouer que je je me remets toujours pas de la fin de ce conte ! Le sort du rat m'a choqué, même si je peux en comprendre la morale.

Une BD jeunesse très sympathique et rigolote. La BD est segmentée en différents chapitres, qui se suivent, mais qui permettent aux premiers lecteurs d'avoir une lecture plus fluide et agréable et d'aller à leur rythme. Le dessin est coloré et plein de peps, à l'image de l'héroïne. Une lecture pour tous les rêveurs, et ceux qui avaient aimé raiponce devraient retrouver ici un thème qui leur correspond ! Une aventure capillaire à découvrir avec les plus jeunes, pour une bonne dose d'aventure et de rigolade !

Et on continue avec une autre bande dessinée super sympa.. le premier tome de « Camille Pétille : Cap ou pas cap ? » Toujours dans la nouvelle collection Tuschuss ! chez Slalom. Cette collection et très prometteuse et à tout pour me plaire !



Nous vivrons cette fois dans la joyeuse famille de Camille avec son papa, sa maman, ainsi que sa grande sœur, une ado très… cérébrale et terre-à-terre.



Les chapitres représentent les 12 mois de l’année, avec chacun son lot de situations toujours très désopilantes elles aussi ! Entre la jeune Camille très drôle et coquine et sa sœur un poil trop philosophe, les parents n’ont qu’à bien se tenir et se retrouvent parfois dans des situations très gênantes 🙂



Les sujets comme le père noël, les amoureux de la cour d’école, les microbes, la nourriture.. tout y passe. Une plume très facile, un langage adapté aux plus jeunes comme aux parents, des dessins vraiment beaux et colorés.



Cette bande dessinée est idéale pour les jeunes lecteurs, à partir de 8/9 ans. On y retrouve beaucoup de situations connues et cocasses dans nos familles à tous. Il faut dire que l’auteure et son mari illustrateur, ont repris quelques scènes de leur vie de « jeunes parents ».



Encore une fois, on y retrouve beaucoup d’humour, de l’amour et une joie de vivre familiale qui met du baume au cœur. J’en redemande, c’est un autre petit coup de cœur ! Vivement le tome 2… et dire qu’il faille attendre Avril 2020 !
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Une bande dessinée jeunesse bourrée d’humour…



Dans cet ouvrage, nous suivons une famille à la fois particulière et tout à fait banale. Chacun de ses membres a ses particularités pour former un tout harmonieux.



Il s’agit de petits sketchs se déroulant sur une à deux planches mettant en scène la jeune Camille qui ne manque pas de répartie mordante. Au programme, on va parler de la mort, des fantômes, du fossé entre parents et enfants pour ces derniers et toutes ces questions que les plus petits posent souvent avec la plus grande naïveté du monde et qui interrogent tellement les adultes (et parfois les embêtent beaucoup !).



J’y ai trouvé comme un petit côté de Mortelle Adèle, mais avec une Camille bien plus blagueuse et naïve, sans tout le côté peste d’Adèle.



Enfin, j’ai beaucoup apprécié le fait que les différentes planches soient divisées en fonction des mois car j’ai passé une très bonne « année » au sein de cette famille. Chaque mois est différent et possède ses particularités et ce découpage m’a beaucoup plu.



Camille pétille est une bande dessinée jeunesse à dévorer à partir de 7 ans et avec laquelle les adultes devraient aussi passer un bon moment. Cet ouvrage m’a beaucoup plu tant par sa qualité graphique que par les différentes réflexions abordées (et il m’a bien fait rire !)
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L'avis d'Ophélie en vidéo:
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"Cap ou pas Cap" le tome 1 pour cette Bd jeunesse qui met en scène la jeune Camille, et le reste de sa famille.

Un an à ses côté depuis sa rentrée des classes, jusqu'aux grandes vacances d'été.



Après avoir suivi le compte instagtam à l'origine de cette Bd pendant 2 ans je n'ai pas résisté longtemps avant de lire la Bd une fois que je l'ai eu entre les mains. Camille est une enfant pleine de vie, curieuse et rigolote. On va la suivre tout le long de cette Bd sous forme d'une année scolaire. Les gags et les bêtises de cette petite fille vont s'enchaîner pour le plus grand plaisir des lecteurs. J'ai rigolé du début jusqu'à la fin. J'ai adoré suivre cette famille super fun et je me suis très vite attachée à la petite Camille qui est un réel rayon de soleil et qui apprend la vie et grandit au fil des pages.

Les jolies illustrations très rondes et colorées de l'illustrateur @sess_b collent parfaitement à l'atmosphère feel good et familiale de cette Bd jeunesse.

C'est le genre de bande dessinée qui réchauffe le cœur et que je vais prendre plaisir à lire et relire devant un bon chocolat chaud les jours de pluie.

J’ai commencé à lire cette jolie petite BD, tranquillement dans mon coin, et dès les premières pages, j’ai été happée par la réalité de certaines situations qui m’ont bien souvent rappelé des événements vécus. Camille est une petite fille qui, comme le titre l’indique, est pétillante et pleine de malice. Elle vit dans une famille ouverte d’esprit et de notre temps, et a une grande sœur un brin cynique...



La chronique complète sur Songe d'une Nuit d'été !
Lien : https://songedunenuitdete.co..

Tess pourrait être la petite sœur de la célèbre Adèle. J'ai trouvé beaucoup de similitudes avec la série de Mr Tan intitulée Mortelle Adèle. La repartie, le fait que la famille ne soit pas épargnée par les bêtises de Tess et le plaisir que prend la petite fille à malmener son chat.



L'auteure, Christine Naumann-Villemin, nous propose de suivre cette petite fille dans son quotidien : garder son frère, se préparer pour aller à l'école..On va découvrir que la jeune fille à la longue chevelure blonde a une particularité, suite à une accumulation de produits sur ses cheveux pour les démêler et les coiffer, ces derniers sont devenus magiques.



Ce récit est drôle, colorée et dynamique. Tess est un bon moyen de faire découvrir la bande dessinée à des enfants qui commencent à lire.

Le petit rat de Wallis et Futuna est un petit livre pour enfants à partir de trois ans. L'histoire est bilingue français/wallisien. Le livre est souple et tient bien dans la main. Les dessin sont en blanc sur fond noir. Dès la première page, il y a une situation des îles Wallis et Futuna, dans l'océan Indien. De plus, il y a une petite présentation symbolique des animaux du livre et de leur représentation dans la mythologie de ces deux îles. Ce qui pourrait être un petit moment de partage parents/enfants.

Nous suivons les aventure d'un petit rat dont la pirogue est en train de couler. Il sera aidé de différents animaux et à chaque fois, ce sera une nouvelle aventure pour notre rat malchanceux. Une histoire pleine de petits rebondissements qui plaira aux tout petits de trois ans. Une histoire qui stimulera l'imaginations des petits lecteurs. Ce conte parle de la réalité de la vie. La fin doit être expliquée par les parents car un peu rude. Malgré cela, ce conte reste un beau moment de complicité et de fous rires pour les petits lecteurs.

Livre en édition bilingue wallisien-français.

Les illustrations sont originales, en noir et blanc comme sur une ardoise ou un tableau blanc. J'ai aimé également les cadres, faisant indubitablement penser à la culture océanienne.

Le conte commence comme un conte classique, dont on a l'habitude : quatre animaux et un événement déclencheur. Puis 3 étapes pour le petit rat et un dénouement. Mais ce dénouement m'a paru choquant, j'en suis restée bouche bée , le pauvre petit rat, déjà abandonné se faisant tout simplement dévorer alors qu'il n'avait, à mon sens, rien fait de mal… ! . Je me rends compte que notre culture occidentale semble bien aseptisée parce qu'il est rare de proposer à nos enfants ce genre de conclusion ! Une belle découverte donc, une toute petite fenêtre sur cette autre culture qui donne envie d'en découvrir plus puisque cela semble bien différent de nous et donc bien intéressant !



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