L'homme idéal devrait, en outre, accepter que plusieurs mois dans l'année, je l'oublie complètement pour ne me centrer que sur mes treks. À la réflexion, cette perle
rare ne peut qu'être un cactus. Non pas que je veuille m'envoyer en l'air avec une
plante, mais simplement, je pourrai m'absenter sans qu'il en crève.