C’étaient des gamins qui ne se la racontaient pas, qui vivaient à fond et qui se serraient les coudes. Ils étaient soudés, super unis, et savaient la fermer quand il le fallait. Ils n’étaient pas débiles non plus, même si ceux de mon lycée les considérés plutôt comme des abrutis. Et je savais qu’il venait de se passer là quelque chose d’essentiel.