Il ne montrait aucune douceur. Et, pendant que ses doigts continuaient de faire monter la fièvre en moi, je me sentais paralysée par des sensations magiques. Qui s’accentuaient et me submergeaient. Je tentai encore une fois de glisser ma main vers lui, désirant lui donner autant de plaisir qu’il m’en offrait, mais ses doigts ne cessaient de me repousser.