Type-Moon

Dès les premières pages, on nous montre que les choses vont mal tourner - apparemment à cause de Kiritsugu - mais on ignore encore tout des tenants et des aboutissants. L'histoire se passe à notre époque, si ce n'est qu'il existe des mages sur Terre assez puissants pour occulter leur guerre aux yeux et à la connaissance du reste de la population. Une guerre assimilée à la Quête du Saint Graal, revenant dans le temps à intervalles réguliers. le célèbre calice est avidement convoité par tous, puisqu'il exauce le voeu le plus cher de son détenteur. Chaque fois qu'il refait son apparition, le Saint Graal désigne huit champions qui se voient ensuite attribuer un servant pour les épauler. Ces huit servants sont en fait des héros du passé ramenés sur Terre pour contribuer à l'effort de guerre.



J'avoue que ce point me laisse encore un peu sceptique. Si je ne suis pas étonnée de voir des assassins tuer joyeusement à la demande d'un tiers, certains servants ont une lignée et une histoire plus nobles. J'en viens à me demander comment ces derniers peuvent cautionner cette éternelle guerre entre trois familles, puisque l'enjeu de ces conflits reste très égocentrique. Mais je ne serais pas étonnée que tout cela cache quelque chose de plus complexe, qui m'échappe encore.



Ce premier tome est en tout cas bien rythmé. Il n'y a pas de temps mort et de petites touches d'humour viennent alléger l'ambiance grâce au comportement bourrin de Rider. de son côté, Kiritsugu a été recruté par la famille Einzbern. Pour remporter cette guerre après une succession d'échecs, on lui a confié une relique encore intacte grâce à laquelle il a pu invoquer le servant le plus puissant : Saber. le Tueur de Mages reste très mystérieux : il semble poursuivre un noble idéal mais apparaît comme quelqu'un de très froid et antipathique. Chaque personnage possède sa part d'ombre, un côté torturé que les mangakas dévoilent avec parcimonie pour mieux captiver le lecteur. Je suis conquise par leur idée d'exploiter de grandes figures du passé. On se prend rapidement au jeu d'essayer de deviner qui est qui, et l'originalité de l'identité de Saber promet d'autres surprises à venir.



Au niveau du contexte, rien à redire ! Les informations sont délivrées en temps et en heure. On ne se sent pas bombardé et pourtant, tout se met rapidement en place pour nous permettre de bien comprendre les enjeux tout en commençant à ébaucher les motivations de chacun. Différentes stratégies se mettent en place alors que la guerre vient à peine de commencer, ce qui laisse présager un seinen dynamique avec de nombreux rebondissements. Les vêtements et les décors sont très détaillés, les personnages expressifs, et de l'ensemble des dessins se dégage une impression de légèreté et de grande maîtrise.



Avec ce premier tome de Fate/Zero, Urobuchi et Shinjirô bâtissent une intrigue avec d'excellentes bases. On se pose d'emblée de nombreuses questions sans jamais ressentir la moindre confusion ou la moindre frustration. Affaire à suivre... de près !
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Un manga étonnant qui mêle Histoire sous fond de guerres de religion et mythologie avec la recherche du Saint-Graal.



Ce premier tome est plutôt explicatif avec la présentation d'une des deux factions en lice. Et il est nécessaire car les personnages sont nombreux et doublés de servants ayant des pouvoirs.



Il y a aussi plusieurs catégories : saber, archer, lancer, rider, caster, berserker, assassin.



Il semble que chacun cherche à s'approprier le pouvoir suprême mais pour compliquer la donne, un médiateur est nommé qui parait avoir ses propres objectifs.



Une histoire complexe q'il reste à développer !

Shirô a été recueillie enfant par un mage suite à l'incendie qui a dévasté sa maison et tué toute sa famille.



Aujourd'hui il vit seul mais deux femmes veillent sur lui, une enseignante excentrique et une jeune adolescente, Sakura, qui vient l'aider pour les repas.



Eloigné de la vie lycéenne, il répare grâce au don qu'il a développé, les machines défaillantes.



Mais les incendies et les meurtres se font de plus en plus nombreux. Shirô s'inquiète pour Sakura qui rentre seule chez elle tard. Il se rapproche ainsi un peu de cette fille secrète...



Un manga qui se développe à la manière d'un thriller. Les éléments se mettent en place dans ce premier tome qui intrigue plus qu'il ne dévoile l'histoire.



La trame est complexe avec une noirceur qui apparaît progressivement autour d'un héros positif et lumineux alors que l'enseignante apporte un peu d'humour et de légereté au scénario.



La quatrième de couverture nous annonce une guerre sainte à venir avec de nombreux clans qui vont s'affronter.



A suivre !
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[...] j’ai pas aimé. Mais alors pas du tout ![...]Commençons donc par parler du dessin. Il est bien réalisé, plutôt agréable à regarder, mais il n’a a mes yeux aucune personnalité. Il est certes bien exécuté, on voit que l’auteur à une bonne maîtrise, mais il me laisse assez indifférente, un dessin comme on en a déjà vu mille, tout calibré pour l’adaptation en anime. Quand le dessin ne dégage rien de particulier, on mise tout sur le scénario. Enfin, moi en tout cas, je m’accommode bien de n’importe quel dessin, même un peu moche si l’histoire est intéressante. Problème ! Le scénario tient dans un mouchoir de poche. Et d’ailleurs je me suis demandé si l’auteur n’avait pas oublié de se relire tant les propos d’une page viennent contredire ceux de la page précédente.[...]
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Avant tout, je tiens à préciser que je connais pas du tout l’univers de Fate. J’en ai beaucoup entendu parler, je sais qu’il existe plusieurs sagas en manga, Light Novel, anime et jeux-video, mais je n’ai jamais eu l’occasion de tester cet univers. Je ne comparerais donc pas ce premier tome de Fate/Apocrypha avec ce qui a été fait précédemment, puisque en bon petit noob de la saga, je débute à peine^^



Ce premier tome nous plonge dans un nouvelle Guerre Sainte, la troisième, si je ne dis pas de bêtises, et qui se voit opposés, deux camps. D’un coté nous avons l’Association des Mages de la Tour de l’Horloge qui font parti de la faction rouge, et de l’autre nous avons la famille Yggdmillenia, la faction noire.



Ces deux factions s’affrontent une nouvelle fois pour la quête du Saint Graal et pour cela, sept mages dans chaque camps vont être envoyés en Roumanie, lieu de la bataille à venir. Les sept mages, ou plutôt Maîtres, vont invoquer ce que l’on appelle des Servants. Là aussi, il y en aura sept dans chaque camps et ceux sont eux qui livreront bataille.



Nous nous retrouvons donc avec une bonne trentaine de personnages en seulement quelques pages ! Autant dire que pour bien commencer une histoire ce n’est pas l’idéal. De plus je trouve qu’ils ont tous des noms plutôt difficiles à retenir, ce qui n’aide pas vraiment à rentrer dans la lecture. J’ai fait souvent quelques retours en arrière pour m’assurer que je savais bien de qui on parlait.



Cependant, la lecture est vraiment fluide et petit à petit, on s’habitue aux noms, on comprends le fonctionnement des deux factions, et cela devient beaucoup plus simple. Car sous ses airs de manga très complexe, Fate/Apocrypha est finalement très simple. Deux camps, les rouges contre les noirs qui se battent pour obtenir le Saint Graal.



D’après ce que j’ai compris, il n’y a jamais eu autant de personnages lors des précédents affrontements, et cette fois-ci, il y a en plus un personnage supplémentaire qui va faire office de médiateur. Ce premier tome est vraiment une grosse mise en bouche. Il prend le temps de tout bien mettre en place, et la guerre ne commence qu’à la toute dernière page. Je ne me suis pas ennuyé du tout, et même si j’ai été un peu perdu au départ, après avoir terminé ma lecture, j’y vois beaucoup plus clair.



Je pense que ce premier tome, bien qu’un peu lent était vraiment nécessaire pour s’assurer que les nouveaux lecteurs comme moi, n’allaient pas décrocher en cours de route. Pour les habitués de la saga, ce sera plus simple et peut-être que vous trouverez qu’il ne s’y passe pas grand chose, là-dessus, je ne peux pas juger.



J’ai déjà repéré quelques personnages intéressants, comme le très charismatique Kairi Shishigô et son servant, Saber Rouge, dont l’identité reste un mystère et qui m’a fait une bonne impression. D’ailleurs, globalement, les personnages dégagent une certaine classe, une prestance que l’on doit à des dessins vraiment très beaux et très détaillés. Les diverses armures des servants sont vraiment magnifiques et j’ai vraiment hâte de les voir en mouvement lors des prochaines batailles.



L’édition est très soignée, comme toujours chez Ototo. Nous avons droit à des pages couleurs et une qualité de papier au top car on ne voit pas au travers et que l’encre ne bave pas. On retrouve aussi des fiches de personnages très détaillés ainsi qu’une interview du mangaka en toute fin de tome.



Si, comme moi vous débutez dans l’univers de Fate, sachez que ce premier tome de Fate/Apocrypha pose très bien les bases et que même si le premier chapitre est un peu brouillon, ça vaut le coup, car au final car il se dégage de ce titre une ambiance chevaleresque moderne assez intéressante.


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Cette suite est entièrement consacrée à la bataille entre Lancer et Saber, amorcée à la fin du tome précédent. Dans les manoeuvres les plus intenses, les mouvements des deux esprits héroïques manquent encore de fluidité. On voit le décor voler, les coups partir ; si le début et la fin d'une action sont évidents, l'entre-deux l'est un peu moins. Malgré ce petit bémol, je n'ai pas eu le temps de m'ennuyer, et le conflit s'étale pourtant sur 160 pages !



Les auteurs introduisent en parallèle bon nombre d'éléments qui se révèleront sans doute décisifs par la suite. On en apprend ainsi davantage sur les techniques de chacun. Il y a les têtes brûlées et les prudents, les courageux et les lâches, les nobles et les fourbes. On commence doucement à pouvoir catégoriser (de façon encore grossière) les différents opposants et à distinguer d'éventuelles alliances à venir. Mais des conflits d'intérêt émergent déjà entre Maîtres et Servants et j'ai hâte d'en découvrir plus sur ce point. Comme je l'avais mentionné dans ma chronique du premier tome, je me demande ce que les Servants tirent réellement d'une telle alliance. Ils ne sont pour le moment que de simples pions, soumis aux quatre volontés des mages qui les commandent. Je trouve cela très déshumanisant et humiliant, en total désaccord avec ce qu'ils ont été de leur vivant.



Rider vient à nouveau alléger l'ambiance avec ses grands sabots, et c'est un personnage qui me plaît de plus en plus car il y a davantage en lui que son côté bourrin et conquérant. Son assurance crasse le rend finalement assez attachant. Quant à Saber, elle a beau être présentée comme le meilleur atout de la guerre en cours, elle n'en est pas pour autant invulnérable et ses erreurs de jugement pourraient bien lui coûter cher... Moi qui ai horreur des héros tout puissants ou du manichéisme trop poussé, je suis enchantée ! Urobuchi et Shinjirô prennent le temps de tisser une toile complexe autour de chaque personnage et malgré cela, cela bouge de tous les côtés. Un seul mot de leur part et une petite partie du mystère entourant Irisviel se lève pour mieux piquer la curiosité. Bref, un question résolue en apporte dix autres... j'adore ! Les mangaka en profitent pour mieux esquisser sa relation avec Kiritsugu, ainsi que leur tactique commune dans la guerre du Saint Graal. le tueur de mages reste quant à lui assez en retrait dans ce volume et la stratégie ébauchée ici permet de mieux comprendre d'où lui vient ce sobriquet.



En conclusion, même si ce deuxième tome est monopolisé par un seul combat, l'intrigue fascine et nous familiarise avec chaque personnage sans laisser le moindre temps mort. Fate/Zero semble bien parti pour me plaire à long terme, alors que je ne savais pas trop à quoi m'attendre en commençant la série.
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Un tome 7 en demie-teinte, qui traîne un peu en longueur mais est indéniablement le tome du calme avant la tempête!
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L'action est bien au rendez-vous avec deux combats : Saber, Lancer et Rider contre Rider ; et Archer contre Berserker. Ça bouge de partout et c'est vraiment sympa ! L'aspect chevaleresque du premier groupe est bien relevé, tandis qu'Archer reste en retrait et n'attaque pas directement Caster (vengeance contre son maître qui fait des coups bas depuis le début pour l'empêcher d'obtenir un sort de commandement comme promis par le médiateur ? À chacun son interprétation, mais ça ne m'étonnerait pas, même s'il avoue ne pas vouloir utiliser son utile noble phantasm).

On a du mal à cerner Kirei, mais c'est un personnage assez ambigu.

Ce tome suit la lancée du précédent, mais il approfondit davantage la relation entre Rider et Waver et j'ai trouvé cela très touchant. Cependant le répit est de courte durée car Caster est prêt à tout pour défier Dieu.

On sent que la confrontation contre Caster va être explosive ! Ce dernier prépare un gros coup et il semble inévitable une collaboration entre les servants et leur maître.

J'ai adoré ce tome ! Certes un peu plus calme, mais la discussion entre les trois rois de cette guerre est vraiment intéressante ! Ils échangent chacun leur point de vue et chacun a sa propre vision de ce que doit être un roi. Tokiomi s'avère un peu trop stratégique et une chose est sûre : son servant ne va pas apprécier encore longtemps et ça risque de se retourner contre lui.

Ce troisième tome conclut la première bataille et on enchaîne avec la découverte du servant Caster et de son maître.

J'avoue que les passages de Caster, ainsi que sur les raisons de l'entrée en guerre du maître de Berserker m'ont mise mal à l'aise... Pour le moment la guerre est un peu en suspend pour nous présenter ces nouveaux personnages qui n'ont pas fini de faire parler d'eux.

Ce second tome nous offre enfin la première vraie bataille de cette guerre du Graal (si on ne prend pas en compte le "massacre" d'Assasin par Archer).

Nous découvrons enfin quasiment tous les servants de cette guerre et ils envoient tous du lourd !

Le combat de Saber et Lancer n'est pas expéditif et l'affaire ne se règle pas en un tome.

J'ai beaucoup aimé ce premier tome qui pose les jalons d'une saga qui semble très prometteuse. Nous découvrons un à un les maîtres de cette nouvelle guerre du Saint Graal et tous semblent nous réserver leur lot de surprises

Durant ce volume, une guerre sainte se prépare, opposant L'Association des Mages (équipe rouge) et Yggdmilennia (équipe noir).



Cette dernière s'est emparée du calice supérieur, permettant ouvrir la guerre du Saint Graal. L'association des mages qui désapprouve, enverra plusieurs mages en pure perte, puis se résoudront eux-mêmes à invoquer 7 Servants afin d'être de taille. C'est donc du 7 contre 7. Avec ça, un ultime esprit Héroïque est invoqué afin de superviser la guerre.



Ce premier tome pose très bien les bases et la situation afin qu'on puisse au plus vite entrer dans le vif du sujet. On n'y découvre brièvement un Servant noir redoutable et la préparation des deux équipes.

Plusieurs pointes d'humour, principalement grâce à un nécromancien Bad-Ass plutôt cocasse qui jouera également le rôle de Maître.



Passons aux points positifs :

• Le scénario est très original, l'aspect équipe donne un tout autre aspect et présage beaucoup d'esprits héroïques à découvrir.



• Le nécromancien, ce dernier est très réussis à mon goût et change des protagonistes habituels.



• Le dessin, il y a un énorme effort sur ce point, je pense notamment au très nombreuses doubles-pages présentant les servants.

Très bon point positif pour moi. Les visages sont détaillés et le dessin présente une certaine mise en scène appréciable.



• Les fiches explicatives font bien plaisir, c'est quand même plaisant de connaître les origines d'un servant avant de le voir passer à l'action.



• Une interview est présente à la fin de ce tome, cette dernière fait à peu près 8 pages et c'est une bonne initiative.



• Un bon rythme qui ne te laisse jamais dans une situation barbante.



Points négatifs :



• Le manque d'action, effectivement, il y a peu d'action dans ce premier tome, celui-ci se concentre surtout à poser les bases.



• Trop de personnages, cela ne nuit pas à la compréhension, mais on se doute qu'il ne pourront pas tous les présenter de manière détaillé...



Conclusion



Il y a un réel effort de faire plaisir au lecteur, de nombreuses pages magnifiques, interview, pages explicatives, etc...

Il est malheureusement trop tôt encore pour parler de la guerre en soi car elle ne fait que se préparer durant ce tome en y installant chaque protagoniste.

En résumé, ce manga fait un réel effort à se démarquer et augure du très bon.



Note :

Scénario 4/5

Dessin 5/5

Finale 4/5

Début de l'aventure pour avec les éditions Ototo et la découverte de Fate/Zero, un manga fantastique où les grands "hommes" de l'Histoire sont les pions de maîtres en quête du Saint Graal.



Pour la petite histoire : Fate/Zero est en fait un light-novel (roman réservé aux adolescents au Japon, écrit simplement) qui a été adapté en animé, puis en manga par les éditions Ototo. Il est le préquel à Fate Stay Night, lui-même adapté d'un jeu-vidéo.



Revenons à nos moutons! J'ai donc commencé ce manga qui change un peu de mes lectures habituelles. Ce tome 1 nous présente un peu le concept de cette guerre vieille de deux siècles entre trois familles éminentes. On comprends vite que les "servants" sont inspirés des "hommes" de l'Histoire et ne sont que des pions dans les mains des maîtres, eux-mêmes des pions, dans les mains des trois familles.



Les informations sur les servants, ce qu'ils sont, leur catégories, "Saber" qui utilise le sabre, "Lancer," "Berserker", etc... sont distillés tout le long de ce tome 1 sans perdre le lecteur vu la quantité d'information.



Même si nous découvrons et suivons plusieurs personnages, Emiya Kiritsugu reste le principal et le plus important. Appelé le "Tueur de mages", il est employé par la famille Einzbern pour remporter ce tournoi. C'est un personnage extrêmement froid au point qu'il laisse même de côté son servant, Saber. Pourtant, il est calculateur et nous montre ses compétences stratégiques lors du premier combat de ce tournoi entre Saber et Lancer.



Gen Urobochi & Shinjîro nous offre un premier tome sombre et mouvementé qu'il laisse présager une série fantastique complexe et trépidante. Les illustrations rendent l’atmosphère tout aussi pesante qu’électrisante dans certaines scènes. Ils ont su donner aux personnages de la profondeur et rendre mieux compte de leur caractère, autant Kiritsugu est froid que Saber a l'élégance des chevaliers ou que d'autres ont la peur au ventre et ne maîtrisent pas vraiment leur servant.



Fate/Zero est un manga prometteur avec une palette de personnages divers qui se battent pour le but, le Saint Graal... A voir si le calice ne cache pas autre chose.
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Manga qui revisite la quête du Graal. Le pitch principale est qu’il y a tout les tant de temps une guerre pour la quête du Graal. Celui ci peut conférer n’importe qu’elle souhait à celui qui l’obtiendra. Ce manga, introduit une notion de magie avec des magiciens invoquant des “Servant”. Dans ces servants on retrouve de grand personnages de l’histoire telle le roi Arthur ou Alexandre le Grand.

C’est assez addictif, les dessins sont agréables et compréhensibles. Le seul hic de ce manga est que la série n’est pas finie. Il n’y a que 3 volumes parus en France.

Ma Note ⅘.

Manga complexe car il s’agit d’un seinen de catégorie dark fantasy. Le mangaka nous entraîne En malgré lui dans son histoire et nous donne des informations au compte-goutte.



Aussi, le lecteur est happé par le suspense de ce premier tome. Quant au niveau du graphisme, j’ai trouvé qu’il était d’une très bonne qualité. Les dessins m’ont fait penser à Hunter X Hunter ou Full Metal Alchimist, ou en Bleach dans l’arc sur les Bounts… En tout cas, le scénario est très dense.

Pour conclure, je pense que ce titre a du potentiel et rencontrera sans aucun doute un certain succès.

Pour ma part, je compte acheter le volume deux…

Je dois dire que la couverture mais surtout le synopsis m'a absolument plu, j'ai appris par la suite en faisant mes recherches sur le manga que c'était en fait le préquel d'un autre manga que je ne connais pas. Comme je l'ai déjà dit auparavant, je suis un peu novice dans les autres genres que le shojo et je ne connais pas grand chose et je commence petit à petit à m'ouvrir à d'autres genres.







J'ai trouvé ce manga relativement intéressant car il met en avant des mythes que j'ai toujours bien apprécié même si je n'ai pas trop bien compris l'histoire dans son ensemble mais je suppose qu'on apprend pas tout dans un seul tome, je pense qu'il me faudra un peu plus que cela pour vraiment comprendre l'histoire ou peut être en me lancant dans l'histoire dont ce manga est le préquel.







Je trouve les dessins très beau, fort adulte, ils sont bien maitrisés. Le scénario l'est également. Je trouve que rien n'est laissé au hasard où dans certains mangas, on préfère laisser l'arrière plan relativement flou, on se retrouve avec des détails.







J'ai hâte de lire la suite.
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Une série qui démarre bien, même si la tonalité gore à outrance dans ce tome peut déranger.
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La bataille dans le quartier des entrepôts de Fuyuki prend une nouvelle tournure lorsque Berserker, le Servant fou, attaque Saber. Le Master de Lancer force ce dernier, avec l’un de ses sorts de commandement, a assisté Berserker, allant ainsi à l’encontre des codes de chevalerie. Y a-t-il encore de l’honneur en ce monde ?
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