« Le Fascisme […] se fait toujours plus fort, plus capable d'attirer et d'absorber, plus efficace et mieux agencé dans la mécanique des esprits, des idées, des intérêts et des institutions ; en somme dans l'organisme vivant du peuple italien. Dès lors, il n'est plus opportun de compter ni de mesurer les hommes un par un, mais de considérer et de jauger l'idée qui, comme toute idée vraie, c'est-à-dire vivante, dotée d'une puissance propre, n'est pas faite par les hommes mais pour les hommes. » (Manifeste des intellectuels fascistes, rédigé par Giovanni Gentile, mars-avril 1925 – cit. p. 169, ma trad.)