AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Weber Editeur (18)


Les herbes ont si bien poussé
Que vous ne pouvez
Même plus voir
Le sentier qui mène chez moi :
C’est que j’ai attendu
Trop longtemps
Quelqu’un qui ne voulait pas
Venir.

Sojo Henjo

Commenter  J’apprécie          570
Au souffle d’air
Qui effeuille ta fleur,
Au nuage qui cache la lune,
A l’homme
Qui cherche la querelle,
Tu dois pardonner,
Même si cela blesse
Tes sentiments.

Inazo Nitobé
Commenter  J’apprécie          500
Demander
Ne coûte
Qu’un instant
D’embarras ;
Ne pas demander
C’est être embarrassé
Toute sa vie.

Proverbe japonais
Commenter  J’apprécie          241
Si la lueur
Des cerisiers fleuris
Sur les collines
Durait plus longtemps
Que quelques jours,
Nous ne
L’aimerions
Aussi
Tendrement.

Yamabe No Akahito
Commenter  J’apprécie          120
Il est plus intelligent d'allumer une toute petite lampe que de te plaindre de l'obscurité.
Commenter  J’apprécie          60
Aucune route n'est longue aux côtés d'un ami.
Commenter  J’apprécie          61
J'écoute le chant de l'oiseau non pour sa voix, mais pour le silence qui suit. Yone Noguchi
Commenter  J’apprécie          40
La vraie sagesse de la vie consiste à voir l'extraordinaire dans l'ordinaire.
Commenter  J’apprécie          40
Aucun animal n'est encore en colère au coucher du soleil.
Commenter  J’apprécie          40
La nuit la plus sombre a une fin lumineuse.
Commenter  J’apprécie          40
L'art de la sagesse consiste à savoir ce qu'il ne faut pas voir.
Commenter  J’apprécie          30
La frontière entre le bien et le mal passe par le coeur de chacun.
Commenter  J’apprécie          30
Ce que nous appelons hasard, c'est peut-être la logique de Dieu. (Georges Bernanos)
Commenter  J’apprécie          30
La barbe ne fait pas le philosophe.
Commenter  J’apprécie          21
Au lieu de s'apitoyer sur les hommes, on ferait mieux de les aider.
Commenter  J’apprécie          10
A la mémoire de ma fille. Un poème pour titre : La consolation


Je veux des bras pour pleurer
Me serrant bien et très fort
Ma femme est toute exténuée
Puis, on dirait qu’elle a sombré
Mélancolique comme un maure

Je veux de bonnes mains douceâtres
Sur mon corps fort caressantes
Mes filles ne font que paraître
Puis, on dirait, loin d’y être
Quelles sont en chapelles ardente

Je veux un regard discret
Disant que des métaphores
Mon fils a les yeux mouillés
Puis, on dirait comme un muet
Qu’il prie DIEU et qu’il l’implore

Puis, ce consolant sentier
Me menant au cimetière
Guide mes pas lents et feutrés
Hier j’ai souris marmonné
Puis, aujourd’hui j’ai refait
Et puis, ma vie toute entière
Commenter  J’apprécie          00
Les cheveux blancs marquent les années et non pas la sagesse.
Commenter  J’apprécie          00
Un optimiste est un homme qui regarde vos yeux, un pessimiste un homme qui regarde vos pieds.
Commenter  J’apprécie          00

Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Weber Editeur (23)Voir plus

Quiz Voir plus

Molière

Qui est l’auteur de cette pièce de théâtre ?

Molière
Jean-Jacques
Michelle
Gertrude

25 questions
29 lecteurs ont répondu
Thème : Le Bourgeois Gentilhomme de MolièreCréer un quiz sur cet auteur

{* *}