Le fauconnier traversa la cour d’un pas rapide. C’était l’heure qu’il préférait, celle où les premiers rayons du soleil venaient frapper les murailles.
Les chiens s’impatientaient dans le chenil, excités par la faim et les senteurs de l’aube. Les oiseaux, immobiles sur leurs perchoirs, attendaient avec une royale indifférence que l’on disposât d’eux.