Je m’emparai de la note et commençai à la lire. A chaque mot, un pan de mon univers s’effondra lentement. Cette petite feuille de papier arrachée à un carnet contenait les seuls mots capables de me détruire complètement.
Figé, je laissai la lettre me tomber des mains. Je ne voulais plus la toucher. Je ne voulais pas la voir. Le message était déjà gravé dans mon esprit. Jamais je ne serais capable de l’oublier. Je ne pouvais plus bouger. Je ne pouvais même plus respirer.