Mon appel aux musulmans à sortir de la malédiction fait référence au « pré de malédiction » qu’évoque Empédocle dans un fragment de ses Purifications5. Ce pré est le lieu « sans joie » où prospèrent des démons attisant la haine et où croît la violence qui multiplie les mutilations, les blessures, les purulences qui gagnent les humains au physique et au moral (voir chap. 17). Or, la maladie de l’islamisme ne cesse de contaminer la jeunesse musulmane et d’aimanter son énergie vers ce pré de malédiction, où des malfaisants l’invitent à camper pour entretenir les suppôts du démon et la séquence de la haine destructrice que nourrit la part négative de l’islam.