Sinon cette certitude coulée dans le marbre de la foi : témoigner avant de mourir, écrire avant de disparaître. Ne plus s'éclipser derrière la feuille de vigne d'une soi-disante ignorance. Écrire pour mourir. Mourir parce qu'on a décidé d'écrire un beau jour. Si tu parles tu meurs, si tu écris tu meurs. Alors écris et meurs.