Abel Darggaud

Bonjour à toutes et tous,



Je viens vous parler d’une découverte littéraire qui m’a bouleversé.

« Le gouffre des innocentes, ou que le diable l’emporte » de Abel Darggaud aux éditions « Le lys bleu ».



Il est vrai que je côtoie quelque peu l’auteur grâce aux réseaux sociaux et que nous avons eu plaisir à échanger, mais là c’est avec ses pensées que j’ai fait connaissance.



Comment vous dire ce que j’ai ressenti ?

Vous savez que je suis sincère envers mes lecteurs et auteurs que j’ai la joie de lire.

Une plume fantastique, débordante d’émotion, de mots choisis avec intelligence.

Nous recherchons tous à travers nos lectures des sensations pures, d’être bousculé par la magie du créateur ainsi que par son univers.

Bousculer je l’ai été…

À chaque formule, chaque page mon cœur c’est ouvert sur l’océan de sentiments qu’il veut nous faire passer à travers ce recueil de nouvelles et c’est un véritable ascenseur émotionnel qui vous attend.

Polar, thriller, fantastique ! Tout y est.

Si tel est votre espérance alors cette lecture est pour vous.

Je tiens particulièrement à féliciter Abel pour ce premier ouvrage dans lequel j’ai enfoui mes pensées sans pouvoir en échapper et de ce genre-là on n’en sort pas idem.

Juste une précision, une question… À quand le nouvel Opus ? Tellement hâte de vous feuilleter encore.

Cet ouvrage est un recueil de 12 nouvelles que l'on pourrait classer dans plusieurs genres : fantastiques, thrillers, mais le tout est surtout très spirituel. On parle de la mort, des croyances qui parfois se transmettent de génération en génération, du malheur et du Mal avec un grand M, mais aussi et surtout de la vie et de sa valeur.



J'ai particulièrement aimé la symbolique de la nouvelle du vieux fauconnier Kazakh.

La nouvelle la plus longue "Le gouffre des innocentes ou que le diable l'emporte" est celle qui m'a le plus tenue en haleine et faites frissonner, digne d'un thriller à la Giebel.