Nationalité : Royaume-Uni
Né(e) à : Bristol
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Né(e) à : Bristol
Biographie :
Adam White est journaliste et producteur.
Il écrit sur la musique, l'industrie de la musique et le Motown depuis quarante ans.
Il a collaboré aux "New Musical Express" et "Melody Maker", puis au magazine "Music Week".
En 1978, il déménage à New York et rejoint la rédaction du magazine "Billboard" dont il devient plus tard le rédacteur en chef.
En 1983 il écrit "The Motown Story: The First Twenty-Five Years".
Ses travaux ont paru dans Rolling Stone, The New York Post, Black Echoes, Radio & Records, The Independent et The Times.
En 2016, il publie, avec Barney Ales, "Motown: The Sound of Young America", l'histoire du mythique label de musique noire.
Adam White a été vice-président de la communication de la Universal Music Group.
son site : http://www.adampwhite.com/
+ Voir plusAdam White est journaliste et producteur.
Il écrit sur la musique, l'industrie de la musique et le Motown depuis quarante ans.
Il a collaboré aux "New Musical Express" et "Melody Maker", puis au magazine "Music Week".
En 1978, il déménage à New York et rejoint la rédaction du magazine "Billboard" dont il devient plus tard le rédacteur en chef.
En 1983 il écrit "The Motown Story: The First Twenty-Five Years".
Ses travaux ont paru dans Rolling Stone, The New York Post, Black Echoes, Radio & Records, The Independent et The Times.
En 2016, il publie, avec Barney Ales, "Motown: The Sound of Young America", l'histoire du mythique label de musique noire.
Adam White a été vice-président de la communication de la Universal Music Group.
son site : http://www.adampwhite.com/
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Citations et extraits (3)
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A l’époque, la musique était vraiment compartimentée, et en tant qu’artistes noirs, notre musique était considérée comme noire. On pouvait toujours chanter Am Stram Gram, ça restait de la musique noire, du rythm ’n' blues.
Si un Blanc chantait la même chose, c’était de la pop !
(Smokey Robinson)
Si un Blanc chantait la même chose, c’était de la pop !
(Smokey Robinson)
Phénomène unique, l'amour pour Motown était omnisexuel : garçons et filles l'adoraient dans les mêmes proportions. Les filles hurlaient leur passion pour Elvis et Cliff, les garçons préféraient des rockers plus hard comme Eddie Cochran, Gene Vincent ou Little Richard. Mais sur la bande son Tamla-Motown, on tombait tous d'accord : la danse, les voitures et les fringues, c'était notre truc.
I heard it through the grapevine de Marvin Gaye est une sommation tranchante et immédiate. Les ordres sont émis par une ligne de basse inquiétante, des tambours vaudous, des claviers hypnotiques et le cliquetis serpentin d'un tambourin, comme pour tendre un piège sonore à l'ennemi dans les jungles du 22e parallèle. C'est du Motown taillé pour la guerre du Vietnam ou pour les rues de Chicago passées au gaz lacrymogène pendant la convention nationale démocrate de 1968. Pas pour le Ed Sullivan Show ou le Copacabana. L'incandescence de la voix de Marvin Gaye pourrait ravager des forêts entières, et Norman Whitfield, l'auteur de la chanson, le sait.
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