Seulement ici personne n’accepte l’idée du suicide, le suicide est l’arme des faibles, pense-t-on dans les chaumières. On préfère encore croire aux fantômes et aux fées maléfiques pour expliquer certaines morts brutales plutôt qu’au désespoir des vivants. Les histoires de fées, ça permet d’enrober de merveilleux les vérités que l’on ne veut pas affronter.