Adeline Paulian-Pavageau

Je remercie Babélio et les Editions Bouinotté pour ce sympathique roman jeunesse gagné lors de la dernière MC. Il se déroule au treizième siècle, ce qui n’est pas fréquent pour les livres destinés aux jeunes.



Silvio, douze ans, vit à Florence et appartient à une prestigieuse famille de marchands d’étoffes et d’épices. Il multiplie les grosses bêtises, son dernier exploit a consisté à s’attaquer au fils des Bardi, une riche famille de banquiers qui domine la cité avec d’autres puissants. C’est une très mauvaise idée, le banquier veut le livrer à la justice qui ne plaisante pas avec ce genre d’affaires, mais son oncle Bartolomeo intercède et obtient une dernière chance pour son neveu, il l’accompagnera à la foire de Provins en Champagne (aujourd’hui en IDF). Le marchand doit accomplir une mission secrète dont il ne peut parler à Silvio, celui-ci a bien de la peine à se comporter en adulte et à prendre ses responsabilités. Les tensions avec son oncle sont fréquentes au fil des mésaventures du garçon, mais malgré tout, il continue à lui faire confiance. Dès le départ, les voyageurs se sentent épiés et menacés, on dirait que quelqu’un veut les empêcher d’accomplir leur mission secrète. A Provins, Silvio se lie avec Isabelle, la fille d’un autre marchand et Benoît, fils d’un sergent de la ville, des enfants de son âge. De nouvelles joies et d’autres difficultés les attendent.



J’ai beaucoup apprécié ce roman très bien écrit, les quelques termes inhabituels sont expliqués en notes de bas de page, ce qui permet une lecture fluide. Il est structuré en chapitres courts qui permettent aux jeunes lecteurs de rester concentrés. Il dépeint d’une manière accessible l’univers des marchands à l’époque des grandes foires médiévales, même s’il y a une légère édulcoration, de la justice notamment qui était bien plus impitoyable que ce qui en est dit.



Silvio et son oncle sont des personnages touchants et très réussis, tout comme Benoît et Isabelle. Batolomeo continue à faire confiance à son neveu même quand les apparences sont contre lui. Il essaie de lui inculquer le sens des responsabilités, ce qui n’est pas si facile à acquérir quand on n’a que douze ans. mais à cette époque, la vie était brève et il fallait grandir vite, on n’avait pas le luxe de « vivre son adolescence », même en étant issu d’une famille plutôt aisée comme les Grande.



Il y a du suspense et Silvio se démène pour trouver qui les persécute ainsi de mille façons, puis pour aider son oncle dans sa mission secrète. Il y a de nombreux rebondissements et l’intrigue est très bien ficelée. Il y a un message à l’intention des jeunes lecteurs pour leur démontrer l’importance de se comporter de manière responsable, même si aujourd’hui on n’en demande pas tant. Toute l’action repose sur Silvio et ses amis, les adultes ont un rôle secondaire dans l’histoire. Silvio et Bartolomeo sauront d’ailleurs se montrer miséricordieux à l’égard de leurs ennemis une fois démasqués. Et voici Silvio prêt à se comporter en adulte récompensé par le pardon du banquier.



L’univers médiéval est bien décrit et vraiment intéressant. C’est un excellent roman que je recommande chaleureusement, il m’a fait passer un très bon moment.
Lien : https://patpolar48361071.wor..

L'histoire : le récit dépeint les aventures d'un rejeton de marchands florentins dénommé Silvio, avec en toile de fond un tableau très réussi de l'Italie et de la France au treizième siècle.



Du haut de ses 12 ans, Silvio est… terrible ! À force de se distinguer par ses mauvaises actions, le garnement donne bien du fil à retordre à son entourage. La question « Qu'est-ce qu'on va bien pouvoir faire de lui ? » peut résumer l'état d'esprit de tous à son propos. Et sa dernière bêtise s'avère plus grave que toutes les autres réunies. Il s'est en effet attaqué au fils d'un puissant banquier de Florence dont la famille fait la pluie et le beau temps dans la cité toscane. La chance sourit néanmoins à Silvio, qui grâce à son oncle Bartolomeo échappe de peu à la justice, laquelle à l'époque ne brillait pas franchement par sa clémence.



Pour se racheter une conduite et tenter de regagner un tant soit peu la confiance des siens, Silvio devra accompagner Bartolomeo, au-delà des Alpes, plus précisément à Provins, une localité de Champagne célèbre pour ses foires. Un parcours initiatique semé d'embûches destiné à lui faire prendre conscience des conséquences de ses actes. Ceci envers et contre tout, car il n'y a rien d'évident à garder la tête froide face à l'injustice et à la malveillance de certains ou devant les caprices du sort. Après bien des péripéties, le garçon finira par acquérir le sens des responsabilités et sera paré pour affronter l'âge adulte.



Ressenti : En plus d'un jeune héros attachant, l'intrigue offre de nombreux atouts, à commencer par une plume fluide et addictive. Bien qu'abondant et choisi, le vocabulaire n'en reste pas moins accessible aux plus jeunes lecteurs. Entraînés dans de palpitantes aventures en plein Moyen Âge, nous sommes ainsi invités à voyager dans le temps avec beaucoup de références documentées qui s'insèrent parfaitement dans le récit. On s'instruit donc intelligemment et sans effort ! On sent filtrer de ces lignes toute la passion de l'auteure pour L Histoire avec un grand H : les tribulations de Silvio proposent un divertissement aussi éducatif que qualitatif.

Merci aux éditions La Bouinotte et à Babelio pour cette découverte.


Lien : http://scambiculturali.over-..

Pour un ouvrage jeunesse destiné aux + de 11 ans, ce récit est très riche en vocabulaire et très dense (345p tout de même).

Malgré tout, je pense qu'il reste abordable pour le jeune public et pourra l'intéresser.



Les adultes ne sont pas en reste pour autant et l'histoire est bien ficelée et pas trop enfantine.



On va suivre Silvio, un jeune florentin de 12 ans, un peu rebelle dans l'âme, qui enchaîne bêtise sur bêtise.

Pour se faire un peu oublier, il va devoir partir avec son oncle, un marchand ambulant qui sillonne les routes pour vendre ses étoffes, bijoux et épices sur les foires .



Cette fois, il voyage vers la France et Silvio va découvrir ce qu'est sa vie .



Très vite, les deux hommes vont être victimes de malversations qui va pousser Silvio a mener son enquête.



Dans la France moyen âgeuse, on se plaît à suivre ce jeune garçon espiègle mais attachant .



L'écriture est très agréable et on avale les pages sans s'en rendre compte .



Un bon ouvrage pour le jeune public qui y trouvera sans doute son compte.

Pour les adultes, une petite histoire sympathique .



Merci à Babelio et à la maison d'édition pour l'envoi .

A douze ans, Silvio est un garçon vif et déluré. Né dans une famille de marchands italiens du XIIIe siècle, il préfère l'amusement au travail et refuse d'écouter ses parents.



Lorsque sa dernière bêtise tourne au drame, le voilà en mauvaise posture, et la renommée de sa famille également. Le jeune garçon ne devra son salut qu'à son oncle Bartolomeo qui décide de l'emmener sur les routes, en faisant son apprenti lors de la foire de Provins.



Un projet qui met en joie Silvio, pourtant bien conscient de devoir faire ses preuves lors de cette dernière chance. Dès le départ, un sentiment de menace pèse sur le groupe de marchands qui quittent la Lombardie pour la Champagne, obligeant chacun à la vigilance.



L'arrivée à Provins offrira à Silvio nombre de découvertes mais ce sera également pour lui l'occasion de prouver sa véritable nature face au danger environnant.



Une aventure pimentée dans un contexte historique très intéressant: un roman bien écrit et disponible pour les jeunes lecteurs qui prendront plaisir à la découverte de cet univers médiéval et aux rebondissements qui émaillent le récit. Une lecture jeunesse bien plaisante.
Lien : https://nahe-lit.blogspot.co..

Cet ouvrage permet une approche des mentalités médiévales où superstition et religion font bon ménage, sans tomber dans la caricature et la légende noire. Un jeune moine se voit confier la mission de résoudre l’énigme de la disparition d’une orpheline, Blanche de Bouges, dont le futur mari hériterait de nombreuses terres. Un enlèvement pour un mariage forcé serait-il envisageable ? Ce récit ne le dit pas mais le roi Jean sans Terre enleva à Angoulême pour l’épouser en 1200 Isabelle d’Angoulême âgée de 14 ans, alors fiancée à Hugues X de Lusignan.



Dans ce récit nous sommes une vingtaine d’années plus tard dans le sud du Berry. Frère Hugues est victime d’une tentative d’empoisonnement dont le forgeron du village est l’instigateur car il craint que le moine découvre le rôle d’espion qu’il tenait pour deux cousins guignant l’héritage qu’apporterait Blanche de Bouges. Toutefois Blanche a choisi de disparaître pour des raisons assez complexes, en partie liées au fait que la parole d’un homme prime sur celle d’une femme et que les dires d’un clerc sont plus considérés que ceux d’un laïc.



Si cette enquête est riche en coups de théâtre, elle est portée par des logiques d’action des protagonistes bien en phase avec l’esprit médiéval, la principale qualité du livre est là. Les chapitres au nombre de 30 sont séparés par une page blanche, aussi avec d’autres blancs en début et fin des pages de texte de ces mêmes chapitres le volume de texte est-il globalement d’une longueur très relative pour un roman historique.


Lien : http://crdp.ac-amiens.fr/cdd..

Bonsoir,



Un livre jeunesse ce soir que j’ai eu grâce à la masse critique Babelio.com et les Éditions La Bouinotte. "La première foire de Silvio" d’ Adeline Paulian-Pavageau dans la collection « les p’tits arcandiers ». Je me suis régalée à la lecture de ce roman (normalement à partir de 11 ans, mais pour un bon lecteur). Nous suivons les aventures de Silvio, jeune lombard de 12 ans, intrépide, faisant des bêtises. A la suite d’une de ces bêtises justement il est envoyé suivre son oncle qui, marchand, va présenter ses produits lors d’une grande foire en Champagne. Des péripéties, des missions insolites. Un vrai bonheur.

Quatrième de couv. À douze ans, l’intrépide Silvio n’en fait qu’à sa tête. Après avoir déclenché une bagarre lors d’un mariage, il est obligé de quitter Florence le temps qu’on l’oublie. Il doit suivre son oncle, un marchand, sur les foires de Champagne. Mais le voyage s’annonce dangereux.

En traversant les Alpes, le garçon évite de peu une chute mortelle. Et il semblerait que cela ne soit pas un accident… Pourquoi en voudrait-on à sa vie ? En arrivant dans la ville de Provins, il noue de nouvelles amitiés. Aux côtés de Simon et Isabelle, Silvio est bien décidé à résoudre l’affaire. Quitte à se mettre en danger !

Entre complot, pouvoir et alliance, suivez les aventures palpitantes d’un petit italien au cœur de la France médiévale.

Relecture d’un livre que mon Papi m’avait offert bien plus jeune, j’avais depuis quelques temps envie de m’y replonger.



Le livre est bien, l’histoire est simple mais donne une image intéressante du Moyen Age qui m’avait charmé quand j’avais environ 10 ans et qui continue à me plaire aujourd’hui. Les thématiques abordés (celle de la confiance en soi, de l’ingéniosité et du fait de se faire dénigrer par son père) sont bien présenté et l’évolution du personnage principal est intéressante. Le livre se lit très bien et a tout le charme de la littérature jeunesse.

Le jeune Hugues a fait le choix de la vie monastique mais il ne se plait pas dans ce monastère bénédictin aux moines trop orgueilleux et avides de pouvoir. Aussi quand son père revient de Croisades avec le seigneur local et en compagnie de deux moines franciscains, il s'empresse de les rejoindre, au grand dam de ses anciens supérieurs. Peu à peu les Franciscains gagnent l'amitié et la confiance des habitants, au point de délaisser l'autre abbaye. Quand un riche négociant est assassiné alors qu'il s'apprêtait à léguer sa fortune aux Franciscains, les soupçons vont vers les hommes d'église, mais Hugues qui est chargé de l'enquête ne peut pas croire à leur culpabilité. Mais un autre meurtre, celui d'un converti aux Franciscains, est commis. Les deux assassinats sont-ils liés, et à qui profitent ces crimes ?





Le jeune Hugues est un héros très sympathique qui a l'esprit vif et l'oeil fureteur, pourtant il garde la tête froide face aux querelles intestines entre religieux. Ce côté pas trop manichéen est appréciable dans cette enquête qui s'adresse à un public adolescent mais qui pourra tout à fait plaire aux adultes. En effet cette série à beaucoup de points communs non pas avec Le nom de la Rose comme le dit la 4è de couverture (il ne faut quand même pas exagérer) mais avec les charmantes enquêtes du Frère Cadfael de Ellis Peters que l'on trouve dans la collection "Grands détectives" de 10/18 et qui retracent avec vivacité la vie au Moyen-Age dans un monastère et ses environs.

C' est l'histoire d' un jeune frère nommé Hugues qui a 16 ans et qui vient de quitter le monastère des bénédictins qui est dirigé par un méchant homme, Rémi d' Aillac. Il part pour rejoindre l'ordre des cordeliers et aussi pour enquêter sur la mort de maître Simon qui était drapier. Un jour alors que Guillaume de Chauvigny rentre d' une croisade avec deux moines de l'ordre des cordeliers, Rémi d' Aillac accuse Guillaume de concurrencer son monastère en encourageant les deux cordeliers à faire un autre monastère .

Le livre est bien , il n' est pas si long à lire mais tout de même, il faut aimer les romans policiers pour s'y intéresser. Il m'a plu car j' aime l'histoire et son suspense et parce qu' il est facile à lire.

Il est plaisant de suivre Philippe dans sa mésaventure. C'est un personnage attachant dans sa naïveté. Avec lui on évolue, on prend de l'assurance, on apprend à faire confiance et on souffre avec lui du mépris de son père qui ne cesse de le rabaisser.
Lien : http://culturetribu.blogspot..

La première foire de Silvio est un roman jeunesse mettant en scène un protagoniste éponyme d’une douzaine d’années, contraint de quitter Florence après un charivari qui, par sa faute, manque de tourner au drame. Il accompagne son oncle marchand en Champagne, où une mystérieuse mission l’attend.



Merci à Babelio et aux éditions La Bouinotte pour l’envoi de ce livre, duquel je ressors malheureusement avec un avis mitigé. Le résumé me faisait pourtant très envie : une œuvre historique avec un héros florentin, que demander de plus ?



Eh bien… Un peu plus d’Histoire avec un grand H, pour commencer. J’ai passé les premiers chapitres à me demander à quelle époque le récit se déroulait, et l’évocation d’un Duomo m’a induite en erreur, puisque j’ai aussitôt pensé à Santa Maria del Fiore. Or, sa construction a commencé à la fin du XIIIème siècle, là où l’intrigue se passe vraisemblablement quelque part entre 1240 et 1250.



C’est la mention des guelfes et des gibelins qui m’a permis de mieux me situer. Ne connaissant que vaguement ce conflit, je me faisais une joie d’en découvrir davantage à son sujet, sauf que non. Tout ce qu’on apprend, c’est que le Pape et l’Empereur s’opposent, et que la faction des guelfes sollicite l’assistance du comte de Champagne.



Je regrette que l’auteur n’ait pas davantage développé cette facette-là du texte, car même s’il s’agit d’une œuvre jeunesse, c’est justement un bon moyen d’attiser la curiosité des enfants à l’égard de l’Histoire et de leur distiller des graines de culture générale.



Ce qui m’amène à ce qui m’a le plus gênée dans ma lecture : son inégalité. Elle est destinée à des préadolescents (à partir de onze ans, affirme la quatrième de couverture), mais autant elle peut se montrer sombre par moments (tentatives de meurtre, description d’une mule à l’agonie et même menace de fausse accusation de viol), autant à d’autres, je l’ai trouvée beaucoup trop enfantine.



Les péripéties, notamment, ont un côté très « C’est celui qui dit qui l’est » et « Ouh, le menteur ! ». Quant à l’orfèvre Giorgio, j’ai eu un mal fou à me le représenter en adulte d’une quarantaine d’années. Vu sa guéguerre avec Silvio, j’avais plutôt tendance à l’imaginer en gosse capricieux et belliqueux.



Idem pour l’oncle du protagoniste, que j’avais envie de gifler devant sa stupidité. Il sait qu’il a une mission aussi périlleuse qu’importante à accomplir, il ne nie pas qu’on peut intenter à sa vie, pourtant chaque fois que Silvio tente de l’interpeler sur de potentielles menaces, il balaye ses mises en garde, quand il ne tient pas injustement son propre neveu pour responsable de leurs malheurs.



Et c’est là aussi un autre point qui m’a lassée. D’accord, Silvio se comporte en sale morveux au début de l’histoire, mais par la suite, presque tous ses emportements sont légitimes, voire justifiés, or tout le monde, à commencer par Bartolomeo, le considère d’office comme une fieffée canaille dès qu’un incident survient, et ce même (surtout) quand il n’y est absolument pour rien.



Paradoxalement, je trouve qu’il donne raison à ses détracteurs dans la dernière partie du livre en fonçant tête baissée pour accomplir la mission de son oncle, sans réfléchir à tous les dangers auxquels il s’expose stupidement et par impatience, susceptibles de l’empêcher de la mener à bien. Or, vu qu’il réussit, c’est là qu’on s’incline devant sa valeur, quand il avait, à mes yeux, bien plus de mérite au préalable.



Pour cette raison, Simon est le seul personnage que j’ai vraiment trouvé sympathique. En ce qui concerne Isabelle, j’aurais aimé qu’elle soit plus approfondie. Sa conclusion est trop rapide et facile à mon goût, peu proportionnel au véritable rôle qu’elle a joué dans l’intrigue.



Dans l’ensemble, je n’ai pas adhéré à cette histoire comme je pensais pouvoir le faire à la vue du résumé. Ce n’est pas pour autant un mauvais récit, et peut-être plaira-t-il davantage au public préadolescent auquel il est destiné, ou à n’importe quel autre lecteur un peu moins exigeant que moi. Merci quand même pour cette découverte !
Lien : https://leslecturesdecyrligh..

Une enquête au Moyen Age rondement menée par le sénéchal et dans l'ombre par son fils Gros Pierre et ses amis. Entre chasse aux sorcières et fausses pistes, Gros Pierre va apprendre l'humilité et le pouvoir de la rumeur. On croise un personnage haut en couleurs Rabelais, simple figurant dans cette histoire à laquelle il apporte toute sa facétie. Un récit plein de rebondissements. Une lecture très plaisante dès 11 ans.

le livre est bien . Je l'ai lu parce que la couverture me plaisait . On n'a jamais envie de s’arrêter tellement c'est passionnant .

C'est un jeune garçon qui s'appelle Philippe, il a 11 ans chaque jour son père qui s'appelle Gille le faisait monter sur son destrier mais Philippe avait peur. Un jour il montait sur le cheval et le cheval s'enfuit dans les profondeur de la forêt son père lui dit d'aller chercher le destrier et de ne pas revenir avant de l'avoir récupéré même si il devait passé la nuit . Philippe obéissante et parti après le cheval il l'avait retrouvé et essaya de s’approcher et il s'enfuit . il se perdit dans la forêt et la nuit passa . Soudain il entendit un bruit

Un petit livre sympathique, mais pas un grand roman historique, pourtant, il n'est pas dénué d'intérêt.

Nous sommes au XIIIe siècle, période de grands changements dans la société. Or dans ce cadre, un nouvel ordre se développe, l'ordre franciscain qui met une attention particulière sur une vie toute de simplicité, au contraire de l'ordre bénédictin, proche du pouvoir en place. Là dessus se greffe une enquête policière...

Enquête policière au Moyen-Age bien menée par un moine espiègle et clairvoyant. L'histoire est fluide et bien écrite.

Du fait d’une narration à la construction dramatique très rythmée et à la documentation historique riche, le jeune lecteur se voit directement transporté au Moyen-Age ! Et c’est aux côtés de frère Hugues, personnage malingre, bossu et très malin, qu’il se mettra à la recherche de la pupille du seigneur André.
Lien : http://www.ricochet-jeunes.o..