Je n'avais que seize ans mais j'avais compris que la souffrance physique était une expérience extrêmement solitaire. Je ne pouvais la partager avec personne et personne n'en avait la moindre idée. C'est pourquoi je ne crois pas que les souffrance du coeur soient plus grandes que celles du corps. Pour souffrir dans son coeur, il faut déjà être en vie.