Chacun avait envie, c’était clair, de filer en douce pour rejoindre son canapé et le téléviseur béni qui noyait les soucis et même toute forme de pensée structurée plus sûrement qu’un casier de bières. Mais bon, il y avait ce doigt sur le comptoir, le gamin tout pâle qui exhalait le vomi et un zeste de dignité qui rôdait encore chez certains d’entre nous. (p. 89)