On sait bien, toi, la journaliste, tu veux toujours tout savoir. Moi, je préfère vivre dans l’ignorance. Je peux très bien mourir d’un accident d’auto ou de parachute, ou encore être terrassé par une crise cardiaque demain matin, avec tous mes neurones en parfait état. À supposer même que je l’aie, ce fichu gène. Ça me servirait à quoi de me torturer, alors ?