Ça m'est venu dans le train et ça a été l'occasion de lui parler de mon engouement pour les haïkus. Ces petits poèmes japonais de trois lignes. J'aimais leur sobriété, cette façon de simplifier au maximum pour aller à l'essentiel.
La traite était un moment particulièrement prolifique. Je les notais sur un petit calepin criblé de crottes de mouches...
le soir, je les recopiais dans un joli carnet...