Jo, malgré les fous rires que cela provoquait chez lui, ne supportait plus de me voir rentrer à 6 heures du matin, au volant de la Méhari plus que bruyante. Il fallait me voir débarquer penaude, le mascara dégoulinant, sous l’œil goguenard du patron qui jouait faussement les chaperons. Non pas parce que j’étais en retard pour commencer ma journée de travail, mais plutôt parce que les pétarades de la voiture risquaient de réveiller les clients.