L’effectif avait triplé, nous étions désormais quinze salariés, pour la plupart français, à nous répartir les missions en deux équipes distinctes : ceux qui parlaient et ceux qui écrivaient. Ces derniers étaient souvent apporteurs d’affaires, malgré eux, puisqu’ils ne sortaient jamais du bureau. La subtilité et la précision de leur savoir-faire en matière de traduction permettait de fidéliser des clients et d’en accrocher de nouveaux, de même que les précieux conseils de rédaction de contrats qu’offraient nos deux juristes.