Et ainsi s'était déroulée toute sa vie, de maison fermée en maison fermée.
Au départ Isidore l'avait surveillée, puis Yohann. Les parents avaient vécu
longtemps et n'avaient pas manqué de la tracasser dans leurs vieux jours.
Sans la pension de Zaltzer, sans cet abri temporaire, sa vie aurait ressemblé
à une course ininterrompue sur des rails enfoncés dans la boue. Ou qu'elle
tournat la tête, il n'y avait qu'obstacle, visages désagréables et mauvais goût.
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