A regarder Catherine et Marguerite s'activer parmi la marmaille, je me demandais d'où elles pouvaient tirer une telle volonté, autant d'énergie pour trouver la joie de vivre qu'elles transmettaient à cette tribu d'enfants séparés de leurs parents : les pensionnaires habituels d'avant-guerre, avec leurs difficultés, et nous, descendants de parias que certains voulaient exterminer.