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Citations de Ailey Paxtee (18)


Il aimait tout chez lui. Son corps. Son âme. Ses perversions, ses déviances. Sa manière de mentir. De manipuler. D’être jaloux et lunatique, égoïste et suffisant. De n’avoir jamais tort. D’être cruel.
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C’était euphorisant, cette masse de gens si différents, et pourtant si semblables, dans leur manière de penser, d’agir, jusque dans leur manière de parler, de marcher ou de vivre. C’était un véritable concept qui se pressait aux portes de la somptueuse tour. C’était comme s’ils portaient l’uniforme intemporel de la classe au service d’un homme synonyme de talent.
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Elle transperçait le ciel de sa beauté élégante et moderne, qui la faisait sourdre des profondeurs de la terre pour jaillir plus haut que n’importe lequel des gratte-ciel.
Puis il y avait ces femmes, vêtues de robes dont le chic n’égalait que leur prestance. Leurs visages étaient gracieux, leurs traits fins, leurs démarches souples, leurs coiffures aussi élaborées que leurs maquillages discrets. Rien n’était laissé au hasard. Les hommes qui franchissaient les portes semblaient issus de l’univers de James Bond, où le costume et la cravate était l’apparat des plus grands et talentueux des agents.
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D’ailleurs, généralement on ne l’appelait pas Jace lorsqu’il était en stage, mais on lui attribuait une étiquette. Le stagiaire. L’étudiant. L’élève. Comme si le qualificatif était plus évident à retenir qu’un prénom. Comme si n’être qu’un étudiant abolissait le fait d’être un être humain.
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La cinquantaine passée, il se considérait toujours aussi séduisant que vingt ans auparavant. C’était certes un bel homme, qui exerçait une attraction certaine sur les femmes, puisqu’il continuait de tromper son épouse, pour autant il n’avait plus la même apparence. Il ne voyait pas dans le miroir que son ventre s’était arrondi de quelques kilos, que sa peau devenait plus fine, plus grasse, que des pattes d’oie certes charmantes, se dessinaient au coin de ses yeux. Il ne se rendait pas compte des cheveux blancs qui parsemaient sa chevelure autrefois de jais, ni qu’au moindre effort il commençait à transpirer, à suffoquer sous l’activité physique.
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Elle était belle, plus encore, et elle le savait, s’enorgueillissant de son physique. Elle avait toujours plu aux hommes, depuis toujours, aussi loin que Matthew s’en souvienne, avec son air candide, sa peau de porcelaine, les lourdes boucles de ses cheveux, blonds comme le blé, ses lèvres faites pour le baiser, et son corps de mannequin. Elle n’avait ni trop peu de formes, ni pas assez, une taille fine et des jambes interminables. Et il s’était toujours amusé à convertir ses petits copains hétérosexuels en homosexuels en devenir. Au début il le faisait dans son dos, parce qu’imaginer la tête de sa sœur apprenant que son petit ami couchait avec son frère lui valait une satisfaction incommensurable.
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Le destin, c’est pour les faibles. Pour ceux qui préfèrent attendre que les événements leur tombent sur un plateau d’argent plutôt que d’aller par eux-mêmes quérir l’objet de leur motivation.
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Chelsea était ce genre de femme superficielle qui pense qu’elle s’est accomplie dans sa vie lorsqu’elle a réussi un beau mariage. Elle n’avait jamais eu d’autre ambition que de se faire passer la bague au doigt par un homme séduisant, riche, et qui l’aimerait à la folie. Alors on pouvait considérer qu’elle avait réalisé ses rêves.
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La meilleure marque du monde avait beau promettre une cure de jouvence, les miracles avaient leur limite. On ne transforme pas un miroir brisé en une splendide galerie des glaces. Les fêlures se voient toujours dans le reflet.
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Son regard était désormais plus glacial que le plus dur des icebergs, plus acéré que le plus tranchant des couteaux. Il y avait quelque chose de terrifiant chez cet homme, une noirceur dans son cœur qui avait envahi son âme, quelque chose d’indéfinissable aussi captivant qu’effroyable. Et en cet instant, il sut que ces rumeurs n’étaient pas aussi délirantes qu’elles semblaient l’être sur le papier.
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Elle est magnifique, parce qu’elle est unique. Elle change d’apparence selon le regard qu’on lui porte, selon le moment de la journée, il y a tant de variables qui font d’elle… ce qu’elle est.
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Le beau ne me suffit pas. J’aime transformer la banalité en quelque chose de différent, le conventionnel pour moi n’a aucune saveur. Je vénère l’inédit.
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Eva était de celles qui se pensaient irrésistibles, vêtues deux tailles en dessous de ce que leur morphologie leur permettait réellement. Souvent, elles avaient des prothèses ongulaires, des faux cils ou une partie refaite dans leur anatomie.
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Lequel était-ce déjà ? Laura ? Lauren ? Aux oubliettes. Quelle importance ? Des femmes comme elle il y en avait des tas. Elle faisait partie de la catégorie de ces gens qui passaient, comme des figurants dont on oublie le rôle insignifiant. Il reporta à nouveau les yeux sur le bout de papier. Peut-être qu’il aurait pu coucher avec elle.
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Observer les gens, voilà une activité qui le fascinait. Certains se complaisaient à scruter des insectes ou bien des animaux, lui c’était l’Homme sa cible privilégiée. A chaque proie son prédateur.
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Les personnes vulnérables sont plus faciles à maîtriser.
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Il avait fréquenté un certain nombre d’hommes, mais Matthew était différent. C’était un aimant. Jamais il n’avait connu cette attraction féroce, plus abrupte encore que celle de la Terre. Son magnétisme n’avait d’égal que son charisme. Il suffisait d’un sourire pour conquérir un cœur. Mais le plus fatal n’était pas la manière dont ses boucles châtain s’arrangeaient à la perfection, mais son regard hypnotique qui transperçait quiconque en défiait l’intensité. Ces iris gris comme le métal, froids comme la glace suscitaient la crainte comme la fascination.
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Matthew Hollander était un homme discret. En fait, « discret » n’était pas le terme adéquat. C’était celui qui inondait la pièce de son aura, et qui ne laissait personne indifférent. Immanquable aurait été plus exact. Il était à l’ombre ce qu’est la lumière. Pour autant, il se pouvait qu’il soit là depuis bien longtemps sans qu’il ne s’en soit rendu compte. C’était un de ses nombreux dons.
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