- Tu es comme le suzuran, dit-il.
Ebahie, j'ai failli lui répliquer : " Non, c'est Kiôko, l'amourette !"Yûji me regarde tendrement sans remarquer mon mécontentement. Il ajoute :
- Ton apparence est discrète, comme ces petites fleurs blanches cachées sous les larges feuilles. En réalité, tu as des racines pleines de vitalité, qui survivraient n'importe où. (p. 86)