En passant devant un magasin de musique, j'entends une chanson populaire des années 70. Immobile, je tends l'oreille. En l'écoutant, je me souviens de la berceuse de ma grand-mère, Azami.
" Ce soir encore, ton oreiller est baigné de larmes.
À qui rêves-tu ? Viens, viens vers moi.
Je m'appelle Azami. Je suis la fleur qui berce la nuit.
Pleure, pleure dans mes bras. L'aube est loin encore. "