Même en dépit des rayons brûlants du soleil, grâce à cette brise permanente, il ne faisait aucun doute qu’on souffrait moins qu’à Tokyo, où la chaleur stagnait.
Les trente degrés avaient déjà été atteints à plusieurs reprises, et dans les rues allaient et venaient des G.I. et des jeunes types aux airs étudiés de truands. En débardeur et bermuda, ils exhibaient leurs tatouages.
Lui et son partenaire cachaient les leurs sous des chemises blanches à manches longues pour éviter d’être identifiés comme yakuzas.