Citations de Alain Astouric (33)
UNE FEMME, Un récit regorgeant de faits actuels sur l’égalité de droits entre hommes et femmes
Douze ouvrières, qui comme chaque matin s e rendaient à leur travail par une route fréquentée, ont soudainement disparu. Comment est-ce possible ? Il y avait bien eu ce bruit sourd, lointain. Une sorte de bourdonnement d’une dizaine de minutes vers le moment présumé de la disparition. Mais comme dans le secteur les bruits et mouvements ne manquent pas, au contraire, ça bouge, ça claque, ça parle, ça chantonne ou ça rouspète, ça souffle ou ça baille surtout le matin et le soir, alors, un bruit de plus ou de moins ce n’était pas bien significatif, avaient d’abord pensé les enquêteurs. Après huit jours à chercher à en savoir un peu plus, ils en arrivaient au même constat, celui d’un bruit sourd, inexpliqué. Seul un ancien avait évoqué une vieille histoire qui se serait produite il y a longtemps. À l’époque déjà, une demi-douzaine de jeunes ouvrières avait disparu un jour de bruit et personne n’avait jamais réussi à élucider quoi que ce soit.
Les jours passaient, l’enquête piétinait, le climat s’alourdissait.
C’est alors que la nouvelle tomba : Cinq nouvelles disparitions aussi soudaines qu’inexpliquées ! Des disparitions intervenues sur la même route, avec le même bruit de fond, à peu près à la même heure que la fois précédente. Exactement sept jours plus tard.
Piqués au vif par ce nouveau défi, les enquêteurs redoublèrent d’activité. La cellule d’enquête fut renforcée et la communication améliorée. À ceci près que l’on n’avait pas grand-chose à communiquer. Alors comme souvent dans un tel cas, les médias se mirent à répéter le peu qu’ils savaient. Du coup, les disparues des jours de bruit étaient véritablement sur toutes les lèvres et dans toutes les oreilles. C’est d’ailleurs en les nommant de la sorte que l’ancien demanda à parler à l’enquêteur en chef.
— Voilà. C’est à propos des disparues des jours de bruit. Je me suis souvenu que les enquêteurs de l’époque étaient offusqués par la propreté.
— La propreté ?
— Oui, la propreté des lieux. Ils disaient qu’à l’endroit présumé de la disparition tout était parfaitement propre ; qu’il ne restait plus une seule brindille et qu’un tel niveau de propreté était inhabituel ;
— Oui, en effet. Je vais voir ça. Vous avez bien fait de m’en parler. Merci.
Femmes, c’est vous qui tenez dans vos mains le salut du monde.
Léon Tolstoï
Vient de paraitre : UNE FEMME, Un récit regorgeant de faits actuels sur l’égalité de droits entre hommes et femmes
(Livre 216 pages et/ou e-book);
En vente en ligne (Amazon – FNAC – Alapage – Décitre – Cultura...) et dans toutes les librairies de France, Belgique et Suisse.
https://www.astouric-durable.com/
Douze ouvrières, qui comme chaque matin se rendaient à leur travail par une route fréquentée, ont soudainement disparu. Comment est-ce possible ? Il y avait bien eu ce bruit sourd, lointain. Une sorte de bourdonnement d’une dizaine de minutes vers le moment présumé de la disparition. Mais comme dans le secteur les bruits et mouvements ne manquent pas, au contraire, ça bouge, ça claque, ça parle, ça chantonne ou ça rouspète, ça souffle ou ça baille surtout le matin et le soir, alors, un bruit de plus ou de moins ce n’était pas bien significatif, avaient d’abord pensé les enquêteurs. Après huit jours à chercher à en savoir un peu plus, ils en arrivaient au même constat, celui d’un bruit sourd, inexpliqué. Seul un ancien avait évoqué une vieille histoire qui se serait produite il y a longtemps. À l’époque déjà, une demi-douzaine de jeunes ouvrières avait disparu un jour de bruit et personne n’avait jamais réussi à élucider quoi que ce soit.
Les jours passaient, l’enquête piétinait, le climat s’alourdissait.
C’est alors que la nouvelle tomba : Cinq nouvelles disparitions aussi soudaines qu’inexpliquées ! Des disparitions intervenues sur la même route, avec le même bruit de fond, à peu près à la même heure que la fois précédente. Exactement sept jours plus tard.
Piqués au vif par ce nouveau défi, les enquêteurs redoublèrent d’activité. La cellule d’enquête fut renforcée et la communication améliorée. À ceci près que l’on n’avait pas grand-chose à communiquer. Alors comme souvent dans un tel cas, les médias se mirent à répéter le peu qu’ils savaient. Du coup, les disparues des jours de bruit étaient véritablement sur toutes les lèvres et dans toutes les oreilles. C’est d’ailleurs en les nommant de la sorte que l’ancien demanda à parler à l’enquêteur en chef.
— Voilà. C’est à propos des disparues des jours de bruit. Je me suis souvenu que les enquêteurs de l’époque étaient offusqués par la propreté.
— La propreté ?
— Oui, la propreté des lieux. Ils disaient qu’à l’endroit présumé de la disparition tout était parfaitement propre ; qu’il ne restait plus une seule brindille et qu’un tel niveau de propreté était inhabituel ;
— Oui, en effet. Je vais voir ça. Vous avez bien fait de m’en parler. Merci.
Il y a dans le cœur d’une femme qui commence à aimer, un immense besoin de souffrir. Charles Nodier.
Il n’y a qu’un travail autonome qui puisse assurer à la femme une authentique autonomie. S. de Beauvoir.
Chez la femme plus que chez l’homme, la beauté intérieure vivifie celle du corps. Victor Hugo.
Ah ! mon frère, une femme aisément d’un mari peut bien surprendre l’âme. Tartuffe, Molière.
Une femme qui se croit intelligente réclame les mêmes droits que l’homme. Une femme intelligente y renonce. Colette
Si la femme commet l’adultère, son mari y est pour quelque chose. (Japon).La femme mariée est un esclave qu’il faut savoir mettre sur un trône. Honoré de Balzac.
Quoi qu’elle fasse, la femme doit le faire deux fois mieux que l’homme pour qu’on en pense autant de bien. Heureusement, ce n’est pas difficile. Charlotte Whitton.
Partout où l’homme a dégradé la femme, il s’est dégradé lui-même. Charles Fourrier.
Quand une femme se sent comprise, estimée, reconnue, aimée, elle peut être inépuisable en activité et en douceur. Henri Frédéric Amiel.
Il y a dans le cœur d’une femme qui commence à aimer, un immense besoin de souffrir. Charles Nodier.
Il n’y a qu’un travail autonome qui puisse assurer à la femme une authentique autonomie. S. de Beauvoir.
Chez la femme plus que chez l’homme, la beauté intérieure vivifie celle du corps. Victor Hugo.
Femmes, c’est vous qui tenez dans vos mains le salut du monde. Léon Tolstoï.
Quoi qu’elle fasse, la femme doit le faire deux fois mieux que l’homme pour qu’on en pense autant de bien. Heureusement, ce n’est pas difficile. Charlotte Whitton.
Chaque femme contient un secret : un accent, un geste, un silence, un regard. Antoine de Saint-Exupéry.
Ah ! mon frère, une femme aisément d’un mari peut bien surprendre l’âme. Tartuffe, Molière.