Alain Bignon

Deux meilleurs amis : Jaz et Marion partent en Ecosse. Marion est journaliste et son sujet du moment : le paranormal.

Mais une histoire parallèle se déroule un homme est assassiné et autour de lui on retrouve les terme de Lénine Dada. On s'interroge donc sur cette étrangeté.



Une BD qui est intéressante à la fois par l'intrigue et le suspens. Les personnages sont particulièrement sympathiques et donnent envie de poursuivre l'aventure.

Les graphismes sont en adéquation avec le thèmes du paranormal.. et pourtant j'ai quand même été "dérangée" par une colorisation que je trouvais étrange pour des être humains... mais qui au final correspond parfaitement à l'atmosphère que les auteurs ont voulu transmettre.



Cette série est divisée en 3 opus et ce premier volet me donne très envie de poursuivre

Ce deuxième tome emmène Jason et Alinéa aux états unis.



Il m'a été difficile au départ de faire la liaison avec le premier tome. Tout d'abord parce que Jaz est devenu Jason.. et puis j'ai bien eu du mal a retrouver les effets du paranormal ressenti dans le tome 1.

Mis a part l'évolution de la "secte" du dada lénine qui continue a respecter les éléments mis dans le tome précédent, j'ai trouvé ce tome beaucoup moins attractif que le premier et c'est bien dommage.



Les graphismes restent égaux et j'ai toujours du mal avec cette colorisation qui fait ressembler les vivants à des zombies.

Dernier tome de cette trilogie, qui me laisse sur le même avis que le tome 2.

Le fantastique est certe plus présent. Les graphismes toujours bien adaptés au thème mais avec une colorisation qui ne me plait pas.



Après c'est un tome un peu particulier puisqu'il a été fini par d'autres dessinateurs suite au décès brutal d'Alain Bignon.



Cette BD aurait pu gagner en qualité puisque le thème de fond est très bon, mais je l'ai trouvé très brouillonne. On se perd un peu dans la densité des deux thèmes généraux abordés.

Je suis donc déçue par cette BD qui semblait très prometteuse.

Chacun des dessinateurs, à sa manière, s'est emparé d'une chanson de Brassens et l'a traduite en images.

Les styles graphiques, les couleurs, les mises en page varient tellement que certaines personnes regretteront qu'un seul dessinateur n'ait pas été choisi pour cet album. Pour ma part, j'apprécie justement les variétés de style !

Bien sûr, j'apprécie davantage certaines mises en images, mais c'est cette variété qui fait toute la richesse de cet album.

J'ai un sentiment très mitigé sur cette lecture. Ma déception est surtout liée à un scénario très décousu qui s'est totalement perdu en chemin. Il est question d'anges dans le titre mais il n'en est rien. C'est comme une abstraction imaginée par un savant fou pour révolutionner l'humanité. Dans le dernier tome, on se serait cru dans le film The Island. Le final est d'ailleurs très décevant.



Le dessinateur Bignon est malheureusement décédé alors qu'il lui restait encore huit planches à finir dans le troisième et dernier tome. C'est un collectif d'auteurs parmi ses amis qui a voulu terminer son oeuvre. Bref, une louable intention mais qui se révèle désastreuse sur le plan du graphisme de ce dernier album pas du tout uniforme. C'est simple : vous avez les planches 35,36,41,42,43,44,45 et 46 chaque fois réalisée par un auteur différent là où un seul dessinateur proche du graphisme de Bignon aurait pu suffire.

J'ai été séduite par le graphisme et la couleur et déçue par le récit un peu déconstruit. Des lieux comme le marché aux puces à Paris, ou encore les cafés à Vienne me resteront en tête.

J'avais tenté de lire ce livre à sa sortie et j'avais abandonné vers la page 30. Mais certains m'ont certifié qu'en fait, c'est vachement bien et que je devais persisté. J'ai donc retenté le coup. D'un côté, je déteste le dessin de Bignon. Affaire de goût De l'autre, les prémices du scénario de Forest m'ennuyent profondément. Mais j'ai persisté, et je suis arrivé au terme de cette drôle d'histoire, et je reste sur mon permier avis. je me suis ennuyé comme un rat mort.

Un polar dans l'esprit des romans de Ellroy, en plus simple cela dit, à base de flics aux grands cœurs, de jeunes femmes assassinées, snuff movies et autres magouilles politiques. raconté avec rythme histoire de tenir en haleine le lecteur, ce one shot se distingue surtout par son côté graphique, la sensualité du trait faisant des merveilles notamment sur les quelques numéros de danses qui parcourt l'album.
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