p.248.
« Prosternée devant vous, je viens vous demander, mon Dieu, la grâce d’une bonne mort. Je reconnais vous avoir souvent offensé… Pardonnez-moi Seigneur… Pardonnez-moi Seigneur… ».
Pourquoi a-t-on aujourd’hui oublié cette prière ? Pourquoi l’Église, la première, ne l’invoque-t-elle plus ? Récitée chaque jour, elle accoutumait à la mort, la rendait plus familière et moins terrifiante.