Après - Années 60. Une jeunesse Bressuiraise, Alain Cadu continue son exploration de l'histoire de notre Ville. Son nouvel opus concerne les années 40-50, période où comme l'indique le titre, la ville était Fort Occupée.
Fort Occupée, elle l'était effectivement dans les Années 40, où l'envahisseur Allemand régnait en maître sur notre cité.
Fort Occupée elle l'était encore davantage à l'aube des Années 50, où une nouvelle Bressuire se reconstruisait.
Au travers d'anecdotes diverses et variées, la petites histoire rejoint la grande. On y picore ici où là des bribes du quotidien de cette époque. C'est instructif et surtout passionnant. Un grand-merci donc à Alain Cadu pour ce passage si émouvant dans ces années 40-50 . Hélas pour vous cher Alain, il vous reste encore pleins de décennies à nous faire découvrir. Vous n'en avez pas encore terminé avec notre Cité.
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Cet ouvrage ne dira pas grand chose au lecteur Lambda. le lycée Saint Joseph de Bressuire ça ne parle pas à grand monde.
Et pourtant, si comme moi vous êtes bressuirais et que ce collège à un moment ou à un autre fait partie de votre vie, il vous ravira.
L'auteur, lui même ancien élève et professeur, nous en raconte l' histoire.
Au travers des témoignages souvent émouvants, il revisite nos années collèges. Il nous présente des figures que nous avons bien connus (professeurs, directeurs, éducateurs....). Un pur moment de bonheur. Merci cher Alain pour ce retour en adolescence.
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Alors que les Jeux de Rio battent leur plein, Alain Cadu nous a concocté un livre très instructif sur l'Olympisme.
On est ici bien loin de tous les ouvrages publiés jusque là sur les JO et leur gigantisme.
Par des portraits d'athlètes et des anecdotes souvent drôles sur les compétitions, il nous plonge dans l'histoire de la Grèce Antique au travers l'histoire de l'Olympisme.
On vit avec ces champions hors normes, oubliés aujourd'hui, mais dont les exploits sont dignes d'un Carl Lewis ou d'un Usain Bolt.
Comment en effet ne pas s'enthousiasmer devant les 12 victoires d'un LEONIDAS de Rhodes et bien d'autres encore.
On y apprend surtout que les Jeux modernes n'ont rien inventé, la pression,la récupération politique, voire la tricherie étaient déjà présent dans l'Antiquité.
A déguster sans modération.
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