Toni maîtrise la peinture radioactive (pour rendre des zones impraticables, brouiller les capteurs, préserver un espace) et la peinture bactériologique (virale et infectieuse, parfois hygiénique et assainissante). Ça donne une efficacité concrète à l'acte de peindre et dépasse le simple effet artistique ou symbolique. La peinture a pour lui une dimension offensive. Avec d'autres graffeurs, il a mis au point des peintures migrantes, capables de se déployer seules à partir d'un point d'impact (tir à grande distance possible).