Au bout d'une heure d'une marche monotone et silencieuse, les hommes trouvèrent l'abri d'un bois, le temps de jouir de la fraîcheur, avant de déboucher à nouveau en rase campagne, le long d'un chemin de terre rectiligne, entre deux champs couverts de chaumes abandonnés.
Le silence était absolu, les oiseaux même semblaient avoir renoncé à affronter la chaleur.