Ne plus pouvoir créer, lorsqu’on reçoit encore des informations de la beauté, lorsque le monde nous murmure à l’oreille des histoires, des sons, des images. Lorsqu’on ne sait plus agencer tout cela pour en faire une œuvre cohérente, lorsque du chaos Nietzschéen ne naît plus aucune étoile, qu’elle danse ou pas, c’est une souffrance qui ressemble à la faim, à la soif, ou au désir d’un corps qui ne veut plus de nous.
(Interview Babelio, septembre 2020)