Mais la grâce de Krafton venait avec les saisons : semer, faucher, comprendre petit à petit que l'année précédente est sans rapport avec celle-ci, que cette récolte peut être meilleure, ou pire et que, quoi qu'il en soit, il y en aura une autre, puis une autre encore. Dans ce cycle, il n'y avait que l'avenir et le labeur, pas d'émotion mais du mouvement, tout comme la pluie tombe ou les cultures germent, sans émotion.